On sait que Graham Greene était cyclothymique, on le découvre quelque peu schizophrène : Il nous entraîne sur ses traces, et comme le petit Poucet il sème des cailloux : autant d'éléments autobiographiques dans chacun des personnages.

Un livre à l'humour terriblement anglais, qui certes traîne un peu en longueur dans le milieu mais qui dégage un optimisme salutaire.

Un bémol pour la version française, et le traducteur en est conscient puisqu'il rajoute un justificatif en fin de livre.
domguyane
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le 1 sept. 2011

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domguyane

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