Évanescence de la série policière allemande, là où l'enquête, la vraie - celle de l'inspecteur de police qui fait son putain de job - prend le pas sur les nouvelles séries d'actions, où des pingouins déguisés en clown font conduire des hélico à des Tobias alcooliques. La BMW de l'inspecteur, elle, ne dépassait rarement les 90 et on pouvait compter sur Stephen pour râler un peu quand Dédé faisait japper le V6. Du stiggler au beretta, de la saison 1 à la 23, Der Inspector nous aura fait... Lire la critique de Inspecteur Derrick