Après le guilty pleasure Divorce, me voici en train de vous parler de Westworld. La chaîne HBO nous a vendus cette nouvelle série comme le nouveau Game of Thrones. Pour ma part, je ne connais cette dernière que de nom, alors difficile de les comparer. Néanmoins, je pense que la production l’a dit dans le sens où ce serait leur nouvelle poule aux œufs d’or, vu le gros carton de la première. Et quand on regarde les dix premiers épisodes de Westworld, on sent venir un succès aussi immense sur la longévité !
Car Westworld est une œuvre télévisuelle audacieuse et prenante, tout en étant inattendue dans son genre. Surtout quand on regarde les premiers épisodes. En effet, si la qualité est au rendez-vous dès le départ, les choses se mettent lentement en place. Un mal pour un bien, dirais-je. Car la série pourrait tout déballer du premier coup, comme un blockbuster hollywoodien qui n’aurait d’aspiration que d’en mettre plein la vue. Or Westworld a choisi de suivre le chemin de son ancêtre LOST : une mythologie qu’elle développe progressivement, en se faisant rejoindre parfaitement deux univers parallèles pourtant opposés dans leurs genres.
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