Alors que la Warner n'avait commandé qu'une série du samedi matin pour compléter un créneau de 30 minutes, Bruce Timm, Alan Burnett et les autres ont proposé la quintessence du genre avec des graphismes dignes des serials animés des années 30 (cf. le Superman de Fischer).
Chaque criminel et citoyen de Gotham a droit à moins un scénario de haut niveau, tant tôt allant dans le drame (Victor Freeze) tant tôt allant dans le thriller (Harvey Bullock). Mais la série n'aurait pas été la même sans la sublime musique de Shirley Walker qui met en valeur chaque moment de tension, de suspens et les visages désespérés des protagonistes.
Lorsque l'on essaie de réfléchir à ce que la série aurait pu faire de mieux, il difficile de trouver mis à part à élaguer certains épisodes qui font dans le plus lambda et dont le principal défaut est de ne pas être aussi grandiose que les autres.