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Battlestar Galactica
7.9
Battlestar Galactica

Série SyFy (2004)

Un simple personnage est seul avec lui même et "son esprit' dans son labo. Simple fin de saison pour certains, révélation pour d'autres. Comme moi. Un simple état d'âme d'un personnage ni mal personnifié ni archange salvateur, mais finalement un peu des deux, en fait juste humain. Gaius Baltar doute elors du bien fondé de l'ensemble de son action. On est en alors spectateur de l'introspection d'un


Le pitch départ est pourtant simple : l'humanité est brisée, boutée hors de ses 12 colonies par sa création : les Cylons. durant 4 saisons on suivra les 50.000 rescapés de l'holocauste nucléaire qui a frappé l'Homme.? En ligne de mire, une mystérieuse 13e colonie : la Terre.
A la base pas franchement plus convainquant qu'un nanardisant Stargate non ?

Pourtant le fossé est grand vis à vis de ce symbole de la série SF. Içi pas de superflu : 4 saisons, point barre. Pas de fin ^pour problèmle budgetaire ni de détours inutiles. la durée parfaite. Dites aussi au revoir au manichéisme : les deux égéries de la série : Kara Thrace et Gaius Baltar sont juste humains. Il en va de même pour tous ces autres personnages que vous allez apprendre à aimer et à haîr (mention spéciale à Saul pour moi !).

L'autre comparaison, plus farfelue, que j'ai déjà entendu portait sur la fameuse série Lost. "Ca aprle dans els deux cas de survie et ca se fini en ...".
Là encore NON. Pas de perpetuelle fuite en avant scénristique, içi les thématiques durent et perdurent. La survie en milieu spatial est un comabt de tous les instants mais des thèmes comme la place accordées à la religion dans une société, ou les limites de la fameuse "Raison d'Etat" seront aussi onminprésente.

Toutefois BSG ne tombe pas dans des travers paphlétiques ou doucmentaires : le rythme des épisodes s'impose de lui même et ilo est très facile d'enchainer les épisodes à vitesse grand V. Là encore tout vient de cette gestion des personnages. La première partie de la saison 1 à l'intelligence de présenter clairement le background de chaque acteur majeur et nous permettre de nous y attacher pour mieux les suire par la suite. Certains critiqueront la trame quelque peu mystique qu'acquiert la série par moment. Pourquoi donc ? Le spirituel est un sujet comme un autre eet à l'importance dans nos sociétés. comment s'étonner qu'il soit présent dans des oeuvres qui se veulent cohérantes vis à vis de nos sociétés ?

Nan franchement faites moi plaisir, lachez votre tableur Excel, vos révisions et penchez vous sur cette ovni du petit écran, vous en sortirez envoutés !

PS : L'ost est quand même pas dégueu !
Behemoth
10

Créée

le 26 févr. 2013

Critique lue 461 fois

Behemoth

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