Et tout à coup, Bref.2 est apparu comme une évidence. Comme dirait “Je” (Kyan Khojandi) lorsqu’il réalise par une épiphanie sortie de nulle part que Billie (Laura Felpin), sa nouvelle coloc, est un amour possible : “C’était devant mes yeux depuis le début”. Consensus affolant, l’unanimité d’adjectifs dithyrambiques qui fusent dans toutes les voix s’élevant – sur les réseaux et ailleurs – pour célébrer la seconde partie de la série pensée il y a quatorze ans comme un one shot nous met face à une urgence. Ne pas regarder Bref.2, ce serait être ce/cette ringard·e aigri·e qui passe à côté du chef-d’œuvre du siècle. À défaut de saupoudrer leurs classiques pas si intemporels de glutamate de sodium et de nous faire croire que leurs refontes comportent de nouvelles saveurs – recette qui fonctionne, visiblement Dreamworks nous fait la même saloperie avec Dragons –, Disney a eu le nez creux en s’octroyant les droits de distribution de ces six épisodes qui éveillent tant de passions.
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