le 16 nov. 2015
4 épisodes
4 épisodes, c'est le temps que j'ai tenu devant cet animé. Et de toute façon quel est l'intérêt d'aller plus loin étant donné que les deux héros se dévoilent leur amour et s'embrassent (comme sur...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
1. Un début prometteur, mais une intrigue qui se complique
La série "C'était nous" commence de façon intéressante, avec une intrigue qui capte l’attention. Cependant, dès que Nanami cherche à en savoir plus sur le passé de Motoharu, l’histoire devient difficile à suivre.
On apprend que Motoharu a eu une copine, Nana, qui a vécu une relation abusive avec un ancien petit ami et qui, malheureusement, le trahit. Cette partie du récit alourdit la série et la rend moins fluide.
2. Des personnages principaux mal exploités
Nanami : immature et faible face aux difficultés
Nanami apparaît trop gamine et moralement faible pour supporter la souffrance latente de Motoharu.
Au lieu de le soutenir, elle se laisse emporter par des idées amoureuses naissantes avec Masafumi, le meilleur ami de Motoharu.
Son comportement égoïste et son manque d’assumation rendent le personnage peu crédible.
Motoharu : un adolescent passif
Motoharu, qui devrait être un personnage fort, devient au contraire passif, presque soumis à sa copine et à sa mère. Cette évolution affaiblit son rôle et le rend moins intéressant.
Masafumi : opportuniste et manipulateur
Masafumi profite du désordre émotionnel pour s’immiscer dans la relation entre Nanami et Motoharu. Son intérêt soudain pour Nanami, absent au début de la saison, semble forcé et mal construit, ajoutant un drame artificiel qui n’apporte rien à l’histoire.
3. Une dynamique amoureuse frustrante
Le trio amoureux formé par Nanami, Motoharu et Masafumi est particulièrement pénible. Nanami n’assume rien, Motoharu est passif, et Masafumi profite de la situation sans scrupules. De plus, on a l’impression que Nanami est la seule fille du lycée, alors qu’on la présente comme une petite boule de peluche trop mignonne, ce qui ne correspond pas à la réalité du personnage.
L’intervention de la sœur de Masafumi dans ce "trio" ajoute encore plus de confusion, sans apporter de réelle valeur à l’intrigue.
4. Des réactions psychologiques douteuses
Nanami est jalouse de l’ex-petite amie décédée de Motoharu, ce qui soulève la question d’un possible problème psychologique non exploré par la série. Cette jalousie maladive est difficile à comprendre et nuit à la crédibilité du personnage.
5. Des situations dérangeante et mal construit
Dans un épisode de la fin de saison , Nanami se remet avec Motoharu et prépare une journée spéciale pour eux. Mais Motoharu doit partir en urgence à cause d’un appel concernant la mère de Houri. Nanami, en apprenant cela, fait un « coup de sang » et refuse de le voir. Masafumi qui apprend cette situation par telephone, arrête son propre rendez-vous amoureux, rejoint Nanami à la gare, et elle se laisse aller à ses "avances". Cette situation est dérangeante et vraiment décevante.
6. Doublage et dialogues : un gros point faible
Le choix de la voix française pour Nanami est catastrophique : trop fluette, mielleuse et enfantine, elle ne correspond pas à l’adolescente que l’on voit à l’écran. Au début, Nanami pouvait se montrer mordante verbalement, mais au fil des épisodes, elle devient une lâche, égoïste et sans libre arbitre.
Les dialogues, au fil des épisodes sont également trop sucrés, ce qui affaiblit la force des échanges et la crédibilité des personnages.
Conclusion
En résumé, "C'était nous" partait d’une bonne idée mais se perd dans une intrigue confuse et trop longue (26 épisodes), des personnages mal écrits, une dynamique amoureuse frustrante et se contredit d'un épisode à un autre voir même, une scènes à une autre. Le doublage et les dialogues ne sauvent pas la série, qui finit par devenir difficile à suivre et peu engageante.
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hier
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le 16 nov. 2015
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