Waaaah ...

Néo-victorien, Steam-Punk, Dark Fantasy...
L'action prend certes place dans une Angleterre pré-industrielle...Mais de là à parler de London Itself, Il faudra m'expliquer ;)...Se mêlent dans un quartier Faunes (Pucks) , centaures, Fées (Pix forcément ;)) et un détective au passé mystérieux courant après un "pixal"-killer...
L'univers proposé ma 'a fait l'effet d'un menu on ne peut plus appétant, d'une part par l'époque et le style et d'autre part parce que
Waaaaah c'est ni un préquel, ni un spin off, ni une suite !!!!

Pourtant au bout de 3 épisodes le soufflé retombe ...Ah déjà il a chopé le méchant mais alors quoi ??? Koit'eski va faire maintenant le Rycroft ??? Va aller faire la cour à la jolie pix Vignette pour essayer de regagner son amour perdu ???? Ouais bon ça va pas être génial toussa !
Et bien non, en poussant plus loin ce visionnage, les persos secondaires se croisent naturellement et les action des uns influencent généralement celles des autres !!!
Alors certes l'intrigue principale est vite démêlée mais elle cède gentiment sa place nous amenant nous promener dans les différents quartiers de cette cité néo victorienne (qui ne me fait toujours pas penser à Londres).

Le sujets traités dans cette série sont pour le moins d'actualités : rivalités politiques, migrations, colonialisme, occupation, droit à la différence..
Tout cela dans un melting pot de guerres, drames, amours, fantastique, crimes etc ....

Bref, la série se laisse manger comme une salade composée avec des ingrédients que l'on apprécie plus que d'autres