On retrouve nos principaux protagonistes de nouveau embarqués dans une machination diabolique et toujours éminemment politique. On y retrouve aussi la parano anti-américaine typiquement japonaise (et fidèle à cet égard aux idées… et aux complots du mangaka Shirow).
Une seconde saison qui ne déçoit pas, bien au contraire. L’action y est en effet plus généreuse (et toujours bien réalisée) alors que l’intrigue suit quelques rebondissements aussi fascinants… que de temps en temps presque totalement… abscons ! on sait que les déclinaisons Stand Alone Complex de GITS sont souvent… complexes mais là, les deux derniers épisodes (et surtout le dernier en fait) nous laissent carrrément perplexe…
J’ignore si cet arc narratif est vraiment bouclé mais on verra peut-être de quoi il retourne dans la saison suivante… ou pas. On reste un peu estomaqué par cette conclusion en tout cas... même si la saison reste tout à fait agréable dans l'ensemble.