Et si Yann Moix s'invitait chez Antoine de Maximy ? Non ce n'est pas un épisode spécial Halloween mais bien un spécial Nouvel An de l'émission Europe 1 de surement l'un des pires animateurs radios toute fréquences confondues. Alors on ne comprends pas trop l'ambiance que Moix décrit comme complètement délurée, il affirme même ne pas savoir ce qu'Antoine fête (ben le nouvel an à priori ?) et on sent qu'il aimerait avoir la verve et le talent d'improvisation d'Edouard Baer (les grands frotteurs se rencontrent) mais il n'en est rien et on retiendra de cette longue heure d'errance un genre d'interview au tout début.

Les deux hommes discutent notamment du Voyage avec un grand V face au t tout minuscule et tout vilain de tourisme. Parce que oui, Yann l'affirme, persiste et signe, il n'y a plus de voyageurs. Le goût de l'aventure, du risque, c'est fini. Et on imagine bien vu l'orientation qu'a pris sa carrière et son idéologie que cette nostalgie s'adapte facilement à la drague ou à l'humour. Et à De Maximy de nuancer, il y a toujours autant de voyageurs mais proportionnellement il y a beaucoup plus de touristes. Son interlocuteur conclura que non non, il n'y a plus de voyageurs à part son idole, et que qu'il n'y a que la Corée du Nord qui se vaille encore.


J'irais dormir chez vous est une ode au risque. Et on ne parle pas d'aller se faire aborder par des pirates somaliens pour le simple plaisir d'avoir pris un risque. Non le courage qui réside dans cette série est en allant vers l'autre. Sans préparations, souvent sans parler la langue et surtout sans préjugés, sans tabous. En ça, il serait difficile de dire en quoi un randonneur qui ne croisera personne serait plus voyageur qu'un touriste qui arpentera les boutiques typiques ou restaurants immanquables. Et oui, bien évidemment que le tourisme est une aberration sans nom, un monstre moderne du capitalisme mais refuser d'en voir les sources et une partie de sa pensée relève de la mauvaise foi. Car très peu des messages véhiculés par l'industrie du tourisme prône les batailles pour avoir une place sur des plages bondées ou les files d'attentes devant la meilleure pizzeria du coin. Justement, cette méga industrie a fait tout son beurre sur l'idée de l'ailleurs, du dépaysement et de la rencontre de l'autre. Donc oui je t'en veux un peu (un tout petit peu) Antoine car via ta presque vingtaine de saisons tu as forcément crée des envies. Mais toi au moins tu as l'intelligence de reconnaître que c'est tant mieux que tout le monde n'ai pas la flamme du VOYAGE car sinon les belles routes désertes que tu prendrais seraient désertes. Et même de reconnaître que les gens doivent voyager uniquement si ils en ressentent l'envie forte, pas si on leur suggère.


Alors il est quand même comique d'entendre face à lui un mec qui a voyagé avec Depardieu pour faire ce qui s'appararente à du tourisme sexuel, avec traductrices, guides, voitures etc etc parler de VOYAGE. Oui le romantisme est mort et désormais on doit faire la queue en haut de l'Everest. Mais JDCV nous laisse encore penser qu'il y a des endroits du monde où on doit louer une mobylette, manger des plats dont on ne sait rien et tenter de se faire comprendre avec des gestes et des bruits. Et l'édition Maharadjahs représente très bien ce concept. Au fil des 10 épisodes, on verra très peu de mégalopoles et la plupart des vraies rencontres se feront dans des endroits reculés. En fait l'Inde sacralise le plus les aspirations et hantises du sympathiques routard. Car dès le début on sent bien que les villes saturées de klaxons ne vont pas être tolérables pendant les 3 mois de l'aventure. Se met alors en place une quête assez rigolote de voiture pour pouvoir arpenter plus facilement l'Inde profonde qui révèle de magnifiques paysages aussi bien montagneux que désertiques. Si l'on comprend mal pourquoi ce pays là a été choisi pour être divisé en tant d'épisodes on se rend vite compte que la visite est titanesque et qu'au-delà de la superficie c'est l’éclectisme des gens, religions, ambiances et topologies qui justifie une mini-série.


Le principal problème est proportionnel au découpage puisque sur 10 épisodes relatant 3 mois de trajet on voit très, très peu de choses. En une séquence, deux semaines se passent, un épisode peut s'arrêter sur trois rencontres et on se demande alors si tout n'a été qu'échec, ceux que l'on ne montrent pas, ennuyeux, oubliables. Et ce manque nous renvoie à la fatalité que JDCLM reste une émission de télévision. Tout n'est que montage et quand bien même la chaîne Youtube propose maintenant des "Spéciales" (épisodes agrémentés d'une demi-heure supplémentaire avec des commentaires dans la cuisine à la cool et des séquences inédites) on se demande pourquoi tous n'y ont pas le droit et pourquoi encore une fois tout n'est pas montré. C'est que la télé-réalité ou les réseaux sociaux nous ont habitués à voir tout, tout le temps, "sans filtre", alors que l'émission désormais dans sa vingtaine obéit aux lois de la diffusion, cadenassé dans un format 1h en général et où même si une total liberté nous est proposé, il faut bien livré un résultat intéressant. Intéressante, la mini-série ne l'est pas tout le temps. Antoine se perd, Antoine cherche des gens et malheureusement les débuts sont très poussifs, les indiens ont beau traiter leurs invités comme des divinités, encore faut-il vouloir leur parler et les inviter à dormir. Fatalement, l'émission est prisonnière de son concept à base de hasard et d'improvisation. On alterne donc entre rencontres ratées et mariages fous. Les interactions jouent sur un éventail très large allant de la conversation pleine de rires à des expulsions sans trop de raisons données. On ne comprend pas très bien et en ça un autre biais de l'émission fascine, son manque de contexte.


Face au réal de Cinéman, celui qui aura porté beaucoup de chemises rouges, une fois une jaune et une fois une bleue, avoue avoir arrêté très tôt sa scolarité parce qu'il ne retenait rien. Et donc dans cette même logique, il ne voulait pas enseigner plein de savoirs à des téléspacteurices qui soit ne retiendraient rien, soit connaissaient déjà surement les infos. Ainsi donc pas plus qu'ailleurs, en Inde quelques bribes d'histoires, géographie et sociologie seront données. D'un côté il est dommage de n'aborder un pays qu'en surface et de l'autre on voit bien comment s'opère l'immersion à travers donc les seuls yeux (au nombre de 3) et dires d'Antoine.

Non pas qu'il ne s'intéresse pas aux endroits où il va mais dans son idée de l'improvisation, il y a ce petit côté saltimbanque qui fait qu'il n'apprend aucun élément de la langue, ni trop d'us et coutumes et donc au bout d'un mois en Inde il n'est toujours pas fichu de dire bonjour correctement. Sans être non plus dans un tourisme anarchique on a juste des "Bonjour madame" et "Ah yes" peu importe le continent visité. C'est souvent drôle, un peu gênant parfois mais le gaillard fait toujours preuve d'adaptation et de respect envers ses interlocuteurices et évite toute situation potentiellement problématique. Seulement voilà, on se retrouve nous, derrière notre écran avec encore moins de carte en main car tout n'est pas montré, explicité et quelques rares panneaux explicatifs balisent notre chemin. Lors d'un après-midi fort malaisant avec un éleveur de dromadaires (?!) on aura même le droit à quelques sous-titres mais globalement on vient en simple visiteurice, à nous de faire nos propres recherches et d'affronter le pire des ennemis télévisuels, le montage.


On aurait envie d'oublier quand Tonio nous rabâche qu'il a le contrôle total sur l'émission, que rien n'est préparé, qu'il peut changer de pays au tout dernier moment, on aurait envie d'oublier que c'est de la télé. Et pourtant quand arrivé•es au 3ème épisode de l'aventure indienne on voit que des semaines sont passées mais que le contenu est assez chiche on se doute bien qu'il y a eu des coupures. Encore une fois, prisonnière de son temps d'antenne, l'émission doit choisir quoi montrer. Les unités de temps et d'espaces s'en retrouvent alors totalement bouleversées, on étend des séquences de course poursuite de dromadaire sur une toute petite distance alors que les voyages en train sont éclipsés.

Et il ne s'agit pas de remettre en doute l'authenticité de JDCV (alors JCVD..) mais simplement de nuancer le rêve idyllique d'un road trip sans filtre qui nous montrerait tout d'un ailleurs. Ça rend même d'autant plus intéressants certaines séquences. Ainsi on voit comment se déroule un départ tardif à base de petits déjeuners quand à d'autres moments on se demande s'il n'est pas parti comme un voleur. Une cérémonie bouddhiste de TROIS HEURES nous est un peu montré pour nous faire vivre la durée alors que des jours entiers ont été oubliés. Le voyage se vit, il ne se voit pas, et l'on pourra bien tenter de le retranscrire autant que possible, la télé réalité n'aura de réel que le nom. Antoine de Maximy gardera pour lui ses errances et ses doutes. Peut-être aussi reste-t-il préférable de ne pas montrer que du négatif tant l'aventure indienne commençait déjà mal. Beaucoup de discussions sont étranges, le rapport à l'autre compliqué et il sera même repris plusieurs fois sur son statut de voyageur riche.


Alors il serait compliqué de disserter sur les origines bourgeoises d'Antoine DE Maximy sans en savoir plus que quelques itw ou pages Wikipédia. Tout comme il serait compliqué de lui prêter des intentions être biaisé soit par son identité d'homme blanc aisé ou au contraire par sa sympathie naturel (pitié il ne me reste que lui et Chabat comme mecs intouchables). Ce qu'on sait bien par contre c'est l'argent qu'il gagne et il a au moins le mérite d'en parler sans tabou. On parle de plus de 100 000€ par an, pas seulement via les émissions mais un salaire qu'on s'entendra tous pour qualifier de très confortable. On imagine aussi que la production s'occupe des avions, hôtels et autres frais de bouches et on a donc une certaine idée du voyage. Et encore une fois on affaire à un homme qui est prêt à dormir dans un coin de salle de bain avec son duvet, qui mange tout ce qu'on lui donne et qui voyage dans des taxis qui veulent votre mort. C'est un débrouillard, un vrai, qui baroude hors des Club Med et c'est ce qui rend le paradoxe d'autant plus intéressants. Car en Inde il est à plusieurs reprises renvoyés au fait qu'il fait tout ceci pour l'argent et si logiquement il conteste d'emblée, il faut bien admettre que factuellement, il fait ça pour l'argent. Quand on ne paye pas tout son voyage de sa poche et qu'on gagne 6 fois un SMIC (au point de vouloir se faire payer des conférences, livres etc) il est difficile de ne faire valoir que le simple amour des paysages magnifiques.

De la même manière, l'aspect roots est permis par une certaine sécurité, celle d'avoir toujours de l'argent, des hôtels réservés (même si là-dessus le fonctionnement est assez obscur) et quelques point d'intérêts déjà trouvés (là aussi on ne sait pas comment il entend parler de tel truc à voir ou à visiter). C'est cette même sécurité qui permet à l'aventure de se trouver des quêtes plutôt accessoires comme trouver une voiture typique et la peindre en rouge ou aller dormir chez une star. Et encore une fois, l'argent n'étant pas un problème on peut se payer le luxe de peindre sa voiture et demander des mélanges de couleur (même si là vraiment j'ai du mal à croire qu'il ne s'est pas saboté tout seul). Qu'advient-il de la voiture à la fin ? Mystère, on s'en fiche on a plein de thunes.

Ce rapport à l'argent peut être pris de manière globale comme il peut aussi être vu sous l'aspect d'un certain rapport de classes avec les pays notamment moins favorisés que le notre, ce dont il est tout à fait question dans cette mini-série.


C'est probablement l'une des scènes les plus gênantes de l'émission, Antoine de Maximy qui essaye de sympathiser avec une famille de sans-abris, se rend compte de leur situation, va leur acheter à manger et se retrouve paralyser dans un monde qui ne lui appartient définitivement pas. On a peu vu ce genre de configurations et on se doute que la difficulté de faire de rencontres dans le premier épisode n'a pas aidé. Mais qu’espérait Antoine en s'asseyant dos au mur avec des gens qui n'ont rien ?

On notera tout de même une certaine clairvoyance que je ne mettrais pas sur le compte d'une crainte de polémique qui a l'époque n'aurait pas été si grande. Antoine au moment d'aller chercher des victuailles reconnaît déjà que son geste sera mal interprété par certains et comprend pourquoi et il ressent le malaise face à des gens avec qui il est impossible de parler et dont la situation est exposé via des passants dans la rue. La morale c'est que les enfants aime les sucreries, un constat qui surgira encore lors d'une scène avec des immigrés travaillant en bord de route.

Et aussi, quel regard avoir sur un européen fortuné qui vient se payer un coiffeur à 1€ et offrir le gite et le couvert par des gens qui n'ont presque rien. Il y a les croyances et les coutumes, et on est loin du concept un peu bâtard de Nus et Culottés mais on reste quand même dans cette vibe d'émissions de begpackers tel un Pékin Express et ces candidats qui font l’aumône pour au final gagnés des centaines de milliers d'euros.

Là aussi se mélange les intentions nobles de Maximy, les problèmes du tourisme et un manque de clarté sur l'argent qui est donné à qui et pourquoi.

Et entendons-nous bien, tout travail mérite salaire, en tant que musicien je serais le dernier à dire le contraire, mais quand une personne infiniment moins fortuné que vous, vous dit les yeux droit dans les caméras que vous faîtes ça pour l'argent, c'est en partie vraie. Ce n'est qu'une des motivations mais ce n'est pas du bénévolat et si RMC Découverte (et avant, France télé) stoppait l'émission, alimenterait-il sa page Youtube de nouveaux épisodes entièrement financés de sa propre poche (même si avec l'âge la fin approche bientôt) ?

Ça ne fait jamais plaisir de le dire quand c'est des métiers de passions et qui sont vertueux mais on bosse toujours en partie pour l'argent. Comme ça ne ravie surement pas à tout les coups des gens qui vivent dans la précarité de voir un mec débarqué avec des caméras pour juste voyager ET être payé pour ça. Si en plus iels savaient que c'était pour s'offrir des nouvel an à la campagne avec une centaine de convive et Yann Moix...


Il apparaît pourtant assez clairement quand on connaît les deux bonhommes que leur vision du monde est un brin différente. Moix incarne parfaitement le blanc colonialiste qui arpente les pays les plus infréquentables pour chasser des femmes plus ou moins adultes et se pense comme bien meilleur qu'une bonne partie du globe. Aux commandes de JDCV déjà il n'aurait fait qu'une saison car tout ce qu'il touche est raté mais il aurait surtout beaucoup moins versé dans l'humanisme et la bienveillance. Maximy lui, transpire la sympathie. A l'entendre il aime tout le monde, il s’accommode de n'importe quelle situation et on peut penser qu'il a maintenant côtoyé un bel éventail de l'humanité. Cependant ses racines bourgeoises sont indéniables et on voit bien en quoi le format de l'émission fait de lui le genre parfait tout bords confondus. Peu à l'aise avec les plateaux de télé, il finit invité chez Hanouna et ne provoque pas la moindre polémique. Car ce qu'il offre à voir à toustes, c'est le voyage pur. Les fanas d'influenceureuses Instagram y verront là un retour aux sources, une vision un peu vieillotte du Vlog (et une de ses origines) et un bon franchouillard pas politisé pour un sou.

Car du manque de contexte et de l'art du montage, il résulte que le regard du caméraman ne juge que peu les mœurs de chaque pays. Ça peut arriver, souvent par l'intermédiaire d'une personne tierce qui donne son avis. Ainsi au Bhoutan on lui parlera du bonheur intérieur brut parfait (et tant pis pour le nettoyage ethnique) alors qu'en Birmanie on se plaindra du pouvoir militaire.

En Inde, Antonio ne scille pas trop sur la ségrégation sexiste et comme un ingénu découvre la pollution au détour d'une rivière nacrée de blanc. Ça ne sera pas un vrai sujet, parce que l'émission n'est pas là pour ça et qu'il n'y a pas le temps et parce que de toute façon une émission qui invite au voyage et donc à prendre l'avion n'aurait pas trop son mot à dire sur la pollution.

Tout le paradoxe est donc là, une émissions sur le voyage, une de plus, mais qui invite à aller là où personne ne va, et donc où tout le monde ira. Qui invite à voyager à travers le monde pour constater à quel point on le change de par nos déplacements. Une rencontre de l'autre avec qui parfois il est impossible de communiquer mais qui nous décevra dès lors qu'il sortira son portable et s'avèrera à l'ère de la mondialisation n'être que notre propre reflet. Car en voyageant on espère trouvé des clichés, trouvé moins civilisé, moins bourgeois. C'est un voyage qui se dédouane de son impact parce qu'il nous élève humainement et que donc la planète, ce n'est pas bien grave. C'est un voyage qui rend notre quotidien affligeant de banalité. A l'image des pubs pour le tourisme il nous renvoie à l'idée qu'on croupit dans notre grisaille et notre métro de tout les ours alors que les étendues vertes nous attendent. Il ne suffit que de prendre un sac à dos et se filmer, filmer l'autre.


Antoine de Maximy n'est pas l'incarnation de la vanité même s'il est précurseur de la perche à selfie. Il se filme aussi bien fatigué, que rigolant, parfois même léchant échapper une flatulence ou alors un peu pompette. Il n'est pas un chevalier blanc qui vient construire des orphelinats pas plus qu'il ne veut exporter notre système démocratique à l'international. Il a la chance d'être blanc, d'être un homme (notamment en Inde) comme il a la chance d'être riche. Il n'a eu qu'une aventure d'un soir tout au long de l'émission et de toute façon maintenant il est mariée à une jeune femme parce que le showbiz.

A mi chemin entre le documentaire et la télé-réalité, J'irais dormir chez vous reste un objet curieux, vestige d'un temps sans sensationnalisme, le temps qui s'écoule, pas de programme. Pas besoin de se filmer à côté de morts dans une forêt japonaise, pas besoin de grimper l'Everest et d'en faire un film. Probablement que la chaîne Youtube aidera à la viralité et ramènera un public plus jeune. Probablement aussi que la formule ne changera pas mais qu'il faudra de temps en temps des petites quêtes rigolotes.

Car malgré un rythme pas fou tout du long des 10 épisodes de la visite en Inde, la mini-série se conclue sur une mission un peu bête, semblable au film à Hollywood. Et Antoine Maximy semblable à un paparazzi, qui poursuit une actrice mais sait toujours s'arrêter avant le harcèlement.

Alors pitié Antoine, reste un bon gars, continue à être gentil avec les gens, ne nous déçoit pas, dans un ultime acte de foi.

Kaptain-Kharma
7
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Créée

le 1 sept. 2025

Modifiée

le 4 sept. 2025

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Kaptain-Kharma

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