Comme ses précédentes productions, on retrouve ce côté doux-amer ou drôle-émouvant qui donne ce côté particulièrement humain aux productions de Judd Apatow. Mais là où l'équilibre était jadis finement maîtrisé (entre poilade et justesse des situations) il manque ici clairement quelques éclats de rire. Les deux protagonistes ne sont pas assez attachants, et il y a un côté trop Woody-Allenien (ça tchatche beaucoup, ça intellectualise trop).
Je retiendraiaussi la jolie surprise de Eels en guest-star musicale dans un des épisodes.
Heey Judd reprends-toi.