le 31 août 2021
Pas une critique!
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Ce court OVA (environ 1h20 de visionnage total) ne constitue pas à proprement parler la résolution des événements de Gundam Wing (qui sont en fait déjà résolus au terme du 49ème épisode de la série) mais plutôt une nouvelle mini-intrigue permettant de fournir une conclusion plus satisfaisante à l’univers de la série. Si le dénouement de Gundam Wing ne peut nullement être qualifié de précipité, il laisse toutefois les personnages dans une situation nouvelle sur laquelle on ne dispose que peu d’éléments.
Les étapes de la mini-histoire d’Endless Waltz s’enchaînement assez rapidement, mais d’une manière très bien articulée à ce qui précède dans Wing. Peut-on vouloir et garantir une paix mondiale ? N’y a pas plutôt une « valse éternelle » amenant inéluctablement le retour de la révolution et de la guerre ? Ces interrogations, centrales dans Wing, sont ici poursuivies ; d’une manière certes un peu moins subtile que ce que Treize (dont le spectre hante l’intrigue du film) pouvait auparavant amener.
Il est assez clair que les antagonistes du film ne pourront pas rivaliser sérieusement avec les protagonistes de Wing et leurs machines. L’intérêt de l’œuvre n’est pas dans la force de ses antagonistes, mais dans sa capacité à fournir davantage d’éléments pour la saisie des fondements de l’intrigue de Wing (et du plan Météore), ainsi que pour la compréhension du passé et de l’évolution des protagonistes. Dans le cas d’Heero, ces apports étaient véritablement nécessaires, et sont ici extrêmement bien amenés. Tous les personnages de Wing sont présents, d’une manière ou d’une autre, à l’écran, ou sont au moins mentionnés (pour Treize et Howard) dans le film, à l’exception de Dorothy (ce qui est dommage).
L’animation, dans les détails des dessins et la fluidité des mouvements, est bien supérieure à ce que l’on pouvait voir dans Wing. La musique est vibrante ou entraînante ; le générique de fin des 3 épisodes, « White Reflection » est aussi mémorable que les openings de la série. (Dans le film qui constitue un équivalent à l’OVA, ce générique est remplacé par Last Impression.)
Ajoutons que l’intrigue commence lors de la veillée de Noël. Cela ne joue aucun rôle dans l’intrigue, mais cela contribue au charme de ce petit OVA, qui donne un véritable sentiment de satisfaction et d’apaisement, donnant un aperçu de la paix et de la sérénité que doivent enfin pouvoir ressentir les protagonistes de Wing au terme du récit qui est fait de leur histoire.
Créée
le 7 avr. 2025
Critique lue 15 fois
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