Money and Violence, épisode 1… 14 minutes de ta vie que tu ne récupéreras jamais, générique inclus. Oui, 14 minutes, le temps de te faire un sandwich, mais sans le goût, ni la satisfaction.
Le scénario ? Un grand néant intersidéral. On suit des mecs qui se la jouent gangsta, mais c’est aussi palpitant qu’un documentaire sur la peinture qui sèche. Le seul moment où il se passe un truc, c’est un dialogue interminable entre deux nanas qui expliquent pourquoi il faut fuir les bad boys. Merci pour la leçon, Socrates de la cité. On dirait ton pote bourré qui te fait une thèse sur la vie à 2h du mat’.
Et puis, minute 12, surprise ! Gros plan sur le cul d’un mec. Pourquoi ? Aucune idée. Peut-être que le réal s’est dit : « Ça manque de peps, zoomons sur un postérieur, ça va tout sauver. » Spoiler : ça sauve rien, sauf peut-être ton envie de zapper.
La réalisation ? Du pur amateurisme, façon vidéo de mariage tournée avec un vieux téléphone qui pixélise. Le cadrage ? Imagine ta meuf qui te coupe le front sur une photo, mais en moins mignon. Les dialogues ? Ton pote teubé qui se prend pour un philosophe de comptoir : « La rue, c’est profond, man. » Non, c’est juste creux.
Le suspense ? Inexistant. Le scénario ? Probablement griffonné sur un ticket de métro froissé. Les acteurs ? Un festival de surjeu digne d’un soap opera discount. Chaque réplique est balancée avec la finesse d’un bulldozer, et la crédibilité d’un mec qui vend des lunettes de soleil à 3 euros sur la plage.
Bref, si t’arrives au bout des 14 minutes interminables de cet épisode 1, t’es un héros. Mais franchement, t’iras pas voir l’épisode 2. Pas parce que t’es difficile, mais parce que t’as mieux à faire, genre mater des vidéos de chats ou réorganiser ton frigo