comment avaler un éléphant

Synopsis de de film survivaliste : une jeune avocate après la mort de son père retrouve les cartes postale que sa mère (qui a fuit le domicile familial et l'a abandonné) lui avait écrit et que son père ne lui a pas donné. Elle découvre que celle-ci qu'elle n'a pas vu depuis ces 10ans seras dans une ville d'Alaska jusqu'à fin septembre... elle se précipite pour avoir une chance de la rencontrer... Mais après être partie de New-York jusqu'à Fairbanks, elle ne peux prendre l'avion devant l'emmener à Inuvik en raison des conditions méteo... Mais comme c'est le dernier jour ou elle peux espérer revoir sa mère... Elle prend un coucou faisant le trajet vers Inuvik... et l'avion se crashe... dans un lac ... et coule... Elle parvient à s'en sortir, le pilote décède, et son second qui a pu sortir de l'avion décèdera lui-aussi de ses blessures. Elle reste seule sur le bord du lac... Le reste de cette mini-serie, consiste dans un vas et viens entre come-back sur sa vie d'avocate new-yorkaise overbooked, sa vie affective minimaliste et sa nouvelle vie de survivaliste et le cours de ses petites victoire contre la mort, une à une, comme l'on avale un éléphant, petite bouchée par petite bouchée, de cette fin de vie qui s'annonce au bord de ce lac ou elle tente de survivre... puis de retrouver la civilisation après avoir vu une lueur loin près de l'horizon, vers le nord.

bon, d'une cela se regarde sans difficulté, d'une traite, c'est une mini-série, donc assez cours... le tout se situe entre désespoir, réminiscence, petite joie, et souvenir comme l'on revoit ou revit sa vie en flash-back avant de mourir, car rien ne lui seras vraiment épargné depuis ce bord d'un lac perdu au milieu de la forêt Boréale, loin de tout, manifestement...

- Un petit regret, il manque un épisode, où l'on apprend ou elle de trouvait, ce qu'était la lueur à l'horizon, et a combien de jour de marche se trouvait-elle de celle-ci...

Mini-série peut-être un peu trop léchée dans la forme, mais c'est Netflix, ce qui lisse et esthétise un peu trop une nature, qui ne peux pas être que Nature et Beauté... Bref, la peur et l'angoisse de cette jeune femme ne se perçoit pas trop dans l'esthétique de la série, sans doute traitée un peu à la vas vite, car c'est propre, voir aseptisé, comme toujours, pas trop travaillé de fait sur ce point, c'est visible... Mais une fois oublié, l'histoire se déroule fort honnêtement.