Chacal Bond
Bonne série britannique jusqu'au cinquième épisode. Après, ça devient pénible.Le générique n'est pas sans rappeler ceux des derniers James Bond. C'est important un générique. Le succès de Starky et...
le 9 déc. 2024
4 j'aime
Voir la série
ATTENTION SPOILER.
On doit déjà reconnaitre que, malgré sa transposition dans un univers contemporain, la série demeure assez fidèle au livre de Frederick Forsyth, paru en 1962, dans la dynamique générale de l’intrigue et certains détails narratifs marquants imaginés par l’auteur.
La photographie y est soignée, le suspense soutenu, les choix musicaux sont de très grande qualité (la playlist est dispo sur les platforme de streaming), les acteurs plutôt à la hauteur même si on peut mettre du temps à adhérer aux partis-pris choisis pour les deux principaux protagonistes (Redmayne & Lynch). Mais au-delà de ça, le premier intérêt de ce show réside dans le profil déroutant du Chacal cuvée 2024 : si on peut estimer possible qu’un psychisme puisse faire cohabiter empathie pour l’humanité avec l’élimination tarifée de VIP bien ciblées (dans tous les sens du terme), on a du mal à cerner les contours de ce personnage qui peut faire preuve d’une mansuétude envers certains protagonistes, libératoire pour le spectateur, tout en en égorgeant d’autres sans un regard (mais parfois un petit remord). Une personnalité comme ça existe-t-elle vraiment ? Si oui, c’est assez flippant ! L’autre gros pari scénaristique à qui, dans mon cas, a fait mouche : la morale est restée aux vestiaires. Chacal remplit son contrat (on s’en rejouit même), élimine sa poursuivante (itou) et va manifestement régler son compte à d’autre VIPs dans une saison deux que j’aurai certainement plaisir à regarder.
Créée
le 17 déc. 2024
Critique lue 704 fois
2 j'aime
Bonne série britannique jusqu'au cinquième épisode. Après, ça devient pénible.Le générique n'est pas sans rappeler ceux des derniers James Bond. C'est important un générique. Le succès de Starky et...
le 9 déc. 2024
4 j'aime
Même "veine" et même qualité que RIPLEY tant dans la mise en scène que dans le jeu intense de l'acteur principal, ici Eddie Reydmane; toujours aussi fringuant et trouble à la fois, cette série est...
Par
le 3 avr. 2025
3 j'aime
Le 22 août 1962, au Petit Clamart, le Général De Gaulle échappe de peu à un attentat mené par un groupuscule d’extrême droite, affilié à l’OAS. Neuf ans plus tard, en 1971, l’écrivain britannique...
Par
le 15 janv. 2025
3 j'aime