Un célèbre influenceur cinéma m’a vendu The Pitt comme « la série de 2025 ».
Soit il s’est planté de titre, soit de calendrier.
Sous ses airs immersifs et cliniques, la série n’est qu’un long couloir d’urgences : on observe, on attend, on s’ennuie. Passé les premières heures accrocheuses, ça tourne vite à la propagande molle et à l’anesthésie totale. Je voulais éviter d'attendre 15h sur une chaise en plastique de l'accueil, c'est loupé. J'étais bien plus concentré sur l'horloge que vers une narrative inexistante.