le 15 août 2015
Tokyo Ghoul et tout s'écroule.
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Dans un Tokyo contemporain des goules cohabitent avec les humains. Une goule est dans cette série une espèce connue qui doit pour survivre manger de la chair humaine. C’est dans cet univers fantastique que l’on fait la rencontre de Kaneki, un jeune étudiant de 18 ans vacant à ses occupations discutant avec son meilleur ami. Comme c’est souvent le cas c’est suite à une mauvaise rencontre que Kaneki va devenir ce qu’on appellera dans la série une goule borgne, mi-monstre, mi-humaine.
Je n’ai pas lu le manga donc impossible pour moi d’en faire la comparaison, même si de toute façon elle n’a pas lieu d’être, sachant qu’un anime se doit de n’être qu’une adaptation pas un copier-coller du matériau originel. Après de brèves recherches j’ai tout de même pu lire que la seconde saison déviait pas mal du manga ce qui est, selon moi, un bien. Sinon, que dire de l’anime dans sa globalité ?
J’ai adoré, tant au niveau de la mise en scène, des doublages (japonais évidemment, toutes les versions françaises d’anime devraient être jetées aux ordures et broyées), de la musique, de l’histoire. Vous aurez le droit à un mélange d’action, de violence, un peu de romance... La thématique est aussi très intéressante : comment lutter contre le monstre qui nous habite, doit-on se laisser aller aux pires bassesses pour protéger ceux que l’on aime ou se laisser faire pour être heureux ? Peut-on être heureux quand on choisit d’être blessé plutôt que blessant ? Bref, tout un programme.
Une idée de mis en scène que j’ai adoré ce sont les silences. Tous les grands moments de la série sont ponctués de ces silences : ni musique, ni son, juste les voix des personnages; cela met une emphase sur la tragédie de l’action simplement folle, à vous en donner des frissons.
C’est une œuvre très sombre et glauque, ce n’est pas à mettre en toutes les mains, même si certains plans sont floutés (la faute à Netflix ou au diffuseur japonais ?). Je recommande chaudement !
Créée
le 20 mai 2016
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le 15 août 2015
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le 20 mai 2016
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Je suppose que je dois aimer le naturalisme dans le cinéma, parce que j’ai aimé ce film. La sobriété de sa mise en scène, ses dialogues et sa structure m’ont plus. J'aime cette nouvelle vague...
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