Une histoire qui peine à démarrer, qui n'arrive pas à son rythme de croisière et qui s'effondre lamentablement à la fin. Mention spéciale pour la scène de ralenti finale, sur la plage, au moins celle de Rocky III à le mérite d'être devenue aussi cultissime que kitsch. Celle-là fera comme ce qu'aurait dû être le destin de son scénario : passer à la déchiqueteuse. Deuxième mention spéciale pour les musiques, visiblement composées par une personne ne connaissant que la gamme de Si bémol, à la créativité d'une huître morte et d'une platitude sans bornes.