Les meilleurs films d'animation Pixar selon Antevre

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Un chef-d'oeuvre intemporel extrêmement riche, qui n'a pas vraiment vieilli (la technique a évolué entretemps mais l'univers visuel reste encore aujourd'hui l'un des plus réussis et immersifs développés dans un film d'animation en CGI). Un petit bijou de narration, aussi, qui ne laisse jamais indifférent. Toy Story n'est pas juste un grand Pixar, ou un grand film pour enfants, mais un tout grand film, tout simplement.

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La palme de l'ascenseur émotionnel gratuit revient sans aucun doute à Up. Sa technique assez atypique du bourrinage sentimental qui laisse après cinq minutes le spectateur dans un état second jusqu'à la fin du film semble être efficace, puisqu'il s'agit sans conteste d'un des plus grands Pixar.

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Certes extrêmement convenu, Coco n'en reste pas moins un film prenant de bout en bout, qui mêle avec intelligence des thèmes pas si simples que ça : le deuil, le poids de la culture familiale, le passage à l'âge adulte, la rancoeur... Le tout dans un récit aux accents orphiques si typiques de Pixar qui se suit avec bonheur, servi par une esthétique soignée et efficace. Me likey.

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Jamais deux sans trois. Ce troisième opus se pose moins en iconoclaste que le premier, mais vient amener une conclusion grandiose à cette première trilogie des jouets les plus attachants de l'univers. 15 ans après avoir changé à tout jamais le visage du film d'animation, Woody et compagnie n'ont en effet rien perdu de leur magnétisme.

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Explorant à nouveau un univers totalement différent de tout ce que Pixar a fait auparavant, The Incredibles constitue le premier vrai long-métrage du studio consacré exclusivement à des sujets humains. Pari risqué, John Lasseter n'ayant jamais caché qu'il s'agissait d'un de leurs plus grands défis, alors qu'ils luttaient encore pour éviter le rendu "plastique" courant dans la CGI. Pari remporté haut la main, le film constituant un véritable tour de force de design.

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Nécessairement marquant, l'univers génialement loufoque et très immersif de Monsters, Inc. en a fasciné plus d'un. Pixar a laissé libre cours à toute sa créativité, chaque monstre étant mémorable à sa manière. Impossible en outre de ne pas fondre devant l'amitié qui se tisse entre Sully et Boo.

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Malgré son concept un brin trop convenu et son esthétique insupportablement trop Disney, Inside Out constitue un chouette divertissement pas complètement idiot. S'il ne s'agit certainement pas d'un des Pixar les plus marquants, difficile d'y rester insensible.

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S'il faut bien reconnaitre que Toy Story 2 n'atteint pas la qualité du premier opus (qui occupe une première place incontestée pour moi dans les films du studio), pour une film originellement planifiée comme DtV, Pixar a de nouveau mis la barre bien haut, et prouvé avec éloquence qu'ils méritaient leur réputation.

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Une préquelle que personne n'attendait vraiment, et qui est pourtant vraiment savoureuse. S'il s'agit d'un film nécessairement moins incontournable que son prédécesseur, Monstres Academy est néanmoins bourré de petits moments réussis, qui permettent finalement de passer joyeusement une soirée.

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Wall-E est très bon à plus d'un titre, et on y retrouve l'amour de la narration assez typique d'Andrew Stanton. Le film ne m'a cependant que moyennement marqué, sans doute là faute à son univers SF très classique et pas spécialement novateur. Très bel exercice de style cependant.

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Un divertissement efficace, une odyssée pleine de rebondissements, mais malheureusement un film qui ressemble beaucoup trop à tout plein d'autres que pour se hisser parmi les plus grands.

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Le deuxième long-métrage de Pixar a un peu sombré dans l'oubli, et pourtant c'est un film qui a beaucoup marqué tout une génération. Ayant revu quelques images récemment, il m'apparait cependant qu'il conserve toujours cette "patte" Pixar significative, qui lui donne beaucoup de charme.

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Je ne me souviens pas de sa suite, mais cela mis à part, Cars apparait clairement comme le cheval boiteux de l'écurie Pixar (métaphore hippique sous le capot, c'est beau). Un récit convenu, affublé d'une romance insupportable et dépourvu de personnages ou scènes qui marquent, pour un résultat clairement sous le signe de l'exploitation commerciale avant tout. Un méchant arrière-goût de Disney en fait un divertissement tout juste correct pour un jeune enfant qui n'a pas encore été exposé ad nauseam à ce genre de récits.