Les meilleurs films de 2019 selon Mattlesith

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{CANNES 2019}

Une célébration de la vie, de l'amour, de l'espoir.

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{CANNES 2019}

Tellement de chose à dire que je ne sais par où commencer. Et vu que je vais sûrement m'emporter je ne dirai rien. Mais dm sont ouvert pour ceux qui veulent débattre du génie de ce film.

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Un gros travail sur l'impact et l'importance du souvenir et de l'appréciation du moment présent. I like it like that.

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Une œuvre qui parlera à chacun tant qu'elle est si personnel à son metteur en scène.

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Ari Aster continu d'apporter sa patte au cinéma d'horreur moderne. Midsommar me redonne espoir pour la prochaine décennie. N'y allez pas avec votre crush par contre.

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Sûrement l'apogée de Tarantino. 1 ou 2h de plus n'auraient pas été de trop.

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A l'image de La La Land, un film excellent qui a buzzé auprès du grand public, qui n'ont pas l'habitude de voir ce qu'est le vrai cinéma, du coup peut être "très légèrement surcoté".

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Une atmosphère chaleureuse pour une petite histoire très plaisante à suivre.

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C'est grosso modo la vie de Booba s'il avait été colombien dans les années 70.

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Maîtrisé de bout en bout, et abordable par tous. Bravo!

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Très inspirant, donne envie de croquer dans la filmo de Pedro.

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"Film de bobo", "Paris c'est pas la France", "Des questions existentielles sans but", derrière tous ces avis quasi unanime sur le la superficialité de ce film, moi j'y vois une œuvre d'une cinéaste novice mais passionnée. Chaque plan est pensée en but d'énoncer une idée précise, et même si par bien des aspects on se croirait dans un hommage à Terrence Malick (Song to song notamment pour la recherche d'un nouveau but dans la vie après une énorme désillusion), Vogler tente de rapprocher fiction et réalité de façon quelque peu inédite (le moment de l'itv tv en témoigne bien l'exemple).
Les sujets abordés ne me déplaisent pas et tout n'est pas aussi terre à terre qu'on le dit. En gros ce film est bourré de défauts, mais qui peuvent être mis sur le compte du manque d'expérience de la très jeune équipe derrière le projet. En tout cas ça reste toujours mieux que le césar du public (bruit de vomissement).

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La qualité que produit Amazon permet de vérifier ma théorie selon laquelle Netflix n'en a juste rien à foutre de la qualité. (Irishman in coming....)

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Peut être le film qui m'a mis le plus mal de l'année. Une descente en enfer collective sans retour trouvable

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Le sujet est parfait pour François Ozon, qui sait comment adapter ses plans pour y faire ressortir des sentiments très précis chez son spectateurs. Nous suivons plusieurs témoignages, plusieurs vie qui ont évoluer avec une divergence si énorme que la rencontre entre tous ne peut provoquer autre chose que l'explosion.
L'Église, sujet tabou chez de nombreuses personnes et d'autorités (la preuve étant que le film a obtenu son autorisation de sortie un jour avant la date prévu) prend vraiment un mauvais coup dans le film, si même qu'on en viendrait presque à la confondre avec la foi pure du croyant (cf l'une des dernières répliques du film: "Papa, tu crois toujours en Dieu?").
Une claque offert par ce film français qui fait un bien fou, et qui nous rappelle avec qu'elle intensité et quel impact le cinéma peut venir interférer nos vies.

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Le premier pas américain de Xavier Dolan se solde par un résultat pour le moins perturbant. On sent que le canadien à voulu étendre son style à l'international en s'épreignant de formule classique (le générique d'ouverture très cliché en témoignera), tout en gardant le même fil conducteur qui anime le fond de ses films.
On y retrouve beaucoup de sujets similaires au reste de sa filmo, notamment le rapport à la mère, abordé de deux façons afin de pouvoir avoir un panel plus large de symbolique (ex: le désir de s'impliquer dans la vie de son fils, l'une attend qu'il vienne vers lui vs l'autre qui prend les choses en mains dès qu'elle remarque un problème).
Encore une fois Dolan parle énormément de lui et de son vécu dans le film, il est même difficile de se dire le contraire quand on voit le personnage de Rupert (petit ou grand). Un personnage en constante évolution (à l'inverse de John qui reste "figé" du début à la fin), à l'instar du cinéaste, qui ne cesse d'apprendre de ses erreurs, et qui poursuit sa carrière sur une pente ascendante. Car même si sur le plan global, Ma vie avec John F.Donovan est très loin derrière Mommy, il permet à son créateur de découvrir un horizon plus large, imposant plus de responsabilités.

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Lanthimos continu sa carrière américaine après les très bons The Lobster et The Killing of a sacred deer. Ici le grec change un peu de registre en introduisant un humour à la fois noir, absurde mais totalement maîtrisé.
Tout ceci étant amplifié et justifié par l'utilisation constante du grand angle, déformant par la même occasion le monde aristocrate dans lequel nous sommes plongés afin de montrer l'absurdité de ce dernier (bien sûr cette justification est loin d'être exhaustive).
La favorite se donne toutes les qualités pour aller remporter la petite statuette d'or, il ne la démériterait pas.

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{CANNES 2019}

Première séance de ma vie dans le grand théâtre de Cannes, quels putains de frissons.
Pour le film Dolan revient à ses débuts sans avoir oublié les leçons qu'il a appris entre temps.

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La barre est mise très haute, les idées de ce film sont juste incroyables.

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Simple mais efficace.

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C'est bien, mais faudrait penser à boucler cette putain de saga et proposer de la nouveauté (non?).

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J'ai été convaincu.

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Manque de pasta.

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Allen toujours pareil, mais Allen toujours aussi plaisant