Les meilleurs films DC Comics selon Sinar1107

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On l'a tous attendu et il est arrivé ! Le VRAI clown (petit clin d'oeil à Ca 2 sorti un mois auparavant) honore sa promesse de nous servir sur un plateau un grand film, innovant et novateur autant dans sa forme que dans son fond, aux antipodes des récits super-héroïques d'aujourd'hui. Todd Philips, tout droit sorti de la comédie populaire non pas moins intelligente avec sa trilogie Very Bad Trip, a crée un petit bijou, un miracle. Joker est avant tout l'histoire d'un homme, qui cherche sa place dans le monde tout en tombant dans un engrenage destructeur et dépressif lancé par une société effrayante, inhumaine et pourtant tellement d'actualité. Le long-métrage prend son temps, acceptant son rythme lent et son ambiance poisseuse et lourde pour impacter le spectateur. Les frontières entre illusion et réalité se troublent, les masques sont partout autour de nous. Le film livre un discours effrayant sur la société et sur les laissés pour compte, arrivant à nous faire adorer Arthur Fleck malgré les monstruosités qu'il peut commettre. La violence qu'il dégage dans certaines séquences en deviennent même jouissives, cathartiques. On souffre en même temps que lui et on se libère au fur et à mesure de sa quête d'identité. La construction narrative ne laisse pas place à l'ennui malgré le rythme et développe chez nous une fascination pour ce personnage culte des comics. Ici, il est comme nous. Joaquin Phoenix livre une performance de haut vol, mémorable, comme très peu d'acteurs pourraient en faire. Il ne joue pas le Joker, il EST le joker. Dès le premier plan, c'est une évidence. Intelligent, Novateur, Effrayant, Perturbant, Jouissif, voilà ce que représente Joker à mes yeux. Un film somme de tout ce qui est bon à garder dans un film de super héros sur la psychologie d'un personnage, le tout doté d'une mise en scène très marquée mais efficace et d'une direction artistique ambitieuse, on obtient (presque) un chef-d'oeuvre. C'est alors dommage qu'un twist en milieu de film soit trop explicitement expliquer ou que Bruce Wayne apparaisse parfois trop pour moi, comme si le film ne pouvait pas se concentrer uniquement sur son personnage et le lier inexorablement vers un univers partagé. Mais après tout, le Joker a toujours été lié un Batman et le film en montre sûrement une des meilleures représentation.

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7,5/10

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Un film épique qui inscrit nos héros dans une problématique récurrente en ce moment: Les super héros doivent ils être contrôlés? Les deux héros de la pop culture s'affrontent de manière brutal et bouleversante. Le film est quelque fois brouillon à cause de toutes les informations. On salue aussi l'arrivée de la vedette Wonder Woman! PS: La version longue est bien meilleure et plus compréhensible.

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Wonder Woman est un bon film ainsi qu'une bonne introduction du personnage. Gal Gadot est juste parfaite pour le rôle, divine comme l'est la super-héroïne. L'alchimie entre elle et Chris Pine est très bonne et partage aux spectateurs leurs émotions. L'humour et l'émotion adopte un ton parfait, sans être ridicule ni trop redondant. La notion du héros et le récit initiatique de la jeune amazone sont traitées de manière originale. Par contre, il y a des gros soucis au niveau des effets spéciaux qui piquent trop souvent les yeux ainsi qu'un troisième acte qui vient baisser la qualité du film avec un combat brouillon et peu crédible contre un méchant ridicule. C'est dommage pour la fin mais le film reste bon et introduit la super-héroïne avec brio. Coup de cœur pour la scène de baston démarrant dans le no man's land, accompagnée du thème musical toujours aussi génial.

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Un Superman réaliste et une origine racontée par des flash-backs placés aux bons moments, que dire de plus? Accompagnée d'une bonne dose d'action et de destruction, le film est divertissant sans être passionnant

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https://www.senscritique.com/film/Aquaman/critique/143537274

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https://www.senscritique.com/film/Birds_of_Prey_et_la_fantabuleuse_histoire_de_Harley_Quinn/critique/101663721

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Shazam s'avère être finalement une assez bonne surprise, je n'attendais rien de ce film et de DC Comics depuis leur nouvelle direction. Sans être complètement emballé, je reste satisfait devant ce long-métrage, divertissant et amusant. C'est rafraichissant de voir une intrigue, malgré sa prévisibilité, qui casse le schéma bien trop connu des Origins Stories pour nous conter littéralement l'histoire d'un enfant devenant super-héros. Doté d'un rythme fluide et bien géré (excepté pour la bataille finale qui aurait gagné à être moins longue et plus dynamique), le film pourrait presque s'apparenter à une parodie super-héroique tellement l'intrigue se sert des clichés du genre pour mieux les détourner (identité secrète...). J'ai également beaucoup aimé le fait que même si Shazam est un film tout public et familial, il utilise l'imagerie de la violence de manière efficace et plutôt jouissive avec des désintégrations ou des séquences assez agressives. Il restera néanmoins des incohérences au niveau des trop nombreuses coincidences jalonnant le récit ou encore un méchant trop convenu, trop calibré et pas encore assez développé pour instaurer un véritable charisme. On perd également la fraicheur de la première partie du film à cause des combats aériens rappelant Man of Steel... mais sans la mise en scène de Snyder. D'ailleurs, à ce niveau là, Sandberg livre une image propre, des plans très classiques et assez banals. La musique est quant à elle toujours aussi oubliable et n'offre que de l'illustration. Enfin, il faut toutefois reconnaitre que les effets spéciaux sont satisfaisants sans toutefois impressionner et que la notion de famille, au coeur du film, est bien traitée à travers des personnages charismatiques et attachants. Shazam est un long-métrage qui a eu du coeur et ça se sent ! Sans en redemander, j'ai apprécié ce moment de légèreté et de fun car oui, l'humour fonctionne vraiment bien !

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Ayant eu de nombreux problèmes de production, que ce soit le départ de Zack Snyder remplacé par Whedon ou l'énorme coupe qu'a subi le film, il reste divertissant et n'est pas si catastrophique qu'on ne le pensait. La première partie, disposant cependant de quelques longueurs, présente des personnages intéressants et les développe pour que le spectateur puisse s'attacher à eux. D'ailleurs, le point positif du film, c'est la justice League elle-même qui fonctionne bien, on ressent une véritable alchimie entre les différents héros interprétés par de talentueux acteurs. Malgré ça, le long-métrage souffre de gros problèmes comme par exemple la vision opposée des deux réalisateurs qui se ressent énormément, créant un important clivage. Certains effets spéciaux deviennent eux-aussi gênants mais reste réussis dans l'ensemble. Le méchant est quant à lui sans intérêt, insipide au possible. Mais cette réunion d’icônes fait son petit effet et ne laisse aucun fan insensible, faisant perdurer l'espoir que le DCU n'est pas encore KO !

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N'ayant pas pu me montrer patient de le voir en salle, je ressors du visionnage profondément frustré et énervé par tant de gâchis. Je portais le premier opus dans mon coeur, malgré cette bataille finale dégueulasse. Mais là, je ne peux pas excuser la réalisatrice. Le scénario est d'une flemmardise sans nom: le méchant connait déjà (on ne saura jamais comment) le pouvoir de la pierre alors que les héros mettent 40min à le comprendre, l'intrigue est complexifiée pour rien (pour faire voyager les personnages) et articulées par des facilités scénaristiques aberrantes, Cheetah est basé sur (encore !) ce cliché du nerd pas respectée qui va vouloir de la reconnaissance/se venger et je ne parle même pas de son utilité (très mal gérée) dans l'intrigue ainsi que de son look final. Tentant de reproduire l'épique des bons vieux films d'aventures des années 80, rien ne marche dans les scènes d'actions, mal mises en scènes et mal montées, il n'y a absolument rien d'exaltant. Les fond verts et effets spéciaux sont honteux pour notre époque et casse complètement l'immersion. Il y avait pourtant un énorme potentiel avec cette idée de vérité et de souhait, critiquant une société de consommation qui en veut toujours plus. Le sacrifice qui oblige Diana à "laisser partir" Steve est un bon ressort scénaristique mais il est malheureusement mal amorcé, son impact émotionnel en est considérablement amoindrie. J'aime aussi le personnage de Maxwell qui aurait gagné à être mieux équilibré, à l'image de Cheetah. Ces antagonistes ne sont d'ailleurs jamais punis pour leurs actes, le manque de conséquences dans le récit annihilent totalement les enjeux. Il restera une Diana toujours aussi radieuse et passionnante à suivre, jamais aidé par une scénario très maladroit, surtout de pour parler de féminisme... Une grande déception....et ça ne profite même pas de son ambiance 80'.

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J'ai un peu de regret qu'il ne soit pas plus haut dans ce classement qui va bien sûr évolué mais ce film qui s'annonçait totalement déjanté, original et badass n'est en faite qu'un mauvais divertissement mêlant humour souvent lourd et affrontements de mêmes ennemis. Coup de cœur cependant pour Harley Quinn magnifiquement et fidèlement interprété par Margot Robbie!

https://www.senscritique.com/film/Suicide_Squad/critique/101515364