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Les meilleurs films de 1951 selon candygirl_

Dans mon ordre préférentiel, les films de l'année 1951 que je possède dans ma collection de Blu-ray / DVD... Ceux qui ne sont pas notés sont ceux que je n'ai pas encore (re)visionnés.

Liste de

21 films

créée il y a 7 mois · modifiée il y a 10 jours

7.5

Othello (1951)

The Tragedy of Othello: The Moor of Venice

1 h 30 min. Sortie : 19 novembre 1952 (France). Drame, Romance

Film de Orson Welles

candygirl_ a mis 8/10.

Annotation :

2xBlu-ray / Carlotta Films

7.7

L'Inconnu du Nord-Express (1951)

Strangers on a Train

1 h 41 min. Sortie : 9 janvier 1952 (France). Thriller

Film de Alfred Hitchcock

candygirl_ a mis 8/10.

Annotation :

Blu-ray / Warner Bros.

7.5

La Poison (1951)

1 h 25 min. Sortie : 30 novembre 1951. Comédie, Policier

Film de Sacha Guitry

candygirl_ a mis 8/10.

Annotation :

Blu-ray / Gaumont

7.2

Alice au pays des merveilles (1951)

Alice in Wonderland

1 h 15 min. Sortie : 21 décembre 1951 (France). Animation, Aventure, Fantastique

Long-métrage d'animation de Clyde Geronimi, Wilfred Jackson et Hamilton Luske

candygirl_ a mis 7/10.

Annotation :

Blu-ray / Walt Disney Studios

7.3

La Maison dans l'ombre (1951)

On Dangerous Ground

1 h 22 min. Sortie : 20 juin 1952 (France). Drame, Film noir

Film de Nicholas Ray et Ida Lupino

candygirl_ a mis 7/10.

Annotation :

DVD / Éditions Montparnasse

Un polar dont le personnage central préfigure le Clint Eastwood de L'Inspecteur Harry ou le Takeshi Kitano de Violent Cop. Face à l'excellente Ida Lupino, Robert Ryan endosse un rôle à sa mesure et reste parfait en flic ultra violent qui trouve une forme de rédemption auprès d'une jeune aveugle. C'est noir, efficace et beau à la fois.

7.2

Quand les tambours s'arrêteront (1951)

Apache Drums

1 h 15 min. Sortie : 6 mai 1951 (États-Unis). Western

Film de Hugo Fregonese

candygirl_ a mis 7/10.

Annotation :

Blu-ray + DVD / Sidonis Calysta

© 1950

Cinq survivants (1951)

Five

1 h 33 min. Sortie : 25 avril 1951 (États-Unis). Drame, Science-fiction

Film de Arch Oboler

candygirl_ a mis 7/10 et a écrit une critique.

Annotation :

DVD - Les 5 Survivants / Artus Films

6.9

Baïonnette au canon (1951)

Fixed Bayonets!

1 h 32 min. Sortie : 19 novembre 1952 (France). Guerre

Film de Samuel Fuller

candygirl_ a mis 5/10.

Annotation :

Blu-ray / Rimini Éditions

Pour son quatrième long-métrage en tant que réalisateur, Samuel Fuller surfe sur le succès de son film précédent (J'Ai Vécu L'Enfer De Corée - 1950) et offre un nouveau film de guerre qui s'apparente à un western. Propagandiste dès son introduction, l’œuvre bifurque rapidement sur l'inutilité des guerres et l'incompétence de nombreux gradés. Il y a du fond, la forme est plutôt bien gérée et le tout se regarde tranquillement sans déplaisir. La bonne moyenne, quoi.

5.9

Le Château de la terreur (1951)

The Strange Door

1 h 21 min. Sortie : 25 avril 1952 (France). Épouvante-Horreur

Film de Joseph Pevney

candygirl_ a mis 5/10.

Annotation :

Blu-ray + DVD / Elephant Films

Publié sous forme de nouvelle en 1878 sous le titre The Sire of Malétroit's Door, Le Château De La Terreur adapte le court récit de Robert Louis Stevenson en drame gothique et horrifique avec Charles Laughton et Boris Karloff dans les rôles principaux. Tourné en 13 jours seulement, le film se voit remarquablement réalisé tandis que Laughton est toujours aussi fabuleux, incarnant ici un châtelain aussi richissime que sadique. Tout le reste bat un peu plus de l'aile mais se laisse néanmoins regarder sans déplaisir.

6.3

10.

La Chose d'un autre monde (1951)

The Thing from Another World

1 h 27 min. Sortie : 23 janvier 1952 (France). Fantastique, Science-fiction, Épouvante-Horreur

Film de Christian Nyby et Howard Hawks

candygirl_ a mis 5/10.

Annotation :

DVD + Livret - Édition Collector / Éditions Montparnasse

Dingue de voir combien ce film a marqué toute une génération de cinéastes U.S (Carpenter, Scorsese, Spielberg, Lucas, Scott, Cameron...) alors qu'il n'est rien d'autre qu'un énième projet de SF fauché, bavard et bien peu effrayant. L'originalité tient peut-être au fait que le film soit l'un des premiers (voire le premier ?) à métaphoriser la menace du bloc communiste qui s'étendra tout au long des années 1950 dans les œuvres du genre. Quoi qu'il en soit, il vaut bien mieux se pencher sur L'Invasion Des Profanateurs De Sépultures de Siegel en terme d'invasion extraterrestre fifties. Et puis surtout le remake de cette "Chose" sous la férule de Carpenter en 1982.
"Quand Rembrandt vous apprend à peindre, vous ne lui prenez pas le pinceau des mains. Vous écoutez et vous le regardez peindre. C'est la même chose quand vous travaillez avec un grand metteur en scène comme Howard Hawks" déclara le monteur Christian Nyby pour avouer du bout des lèvres qu'il n'avait pas vraiment réalisé le film. Hawks a néanmoins fait bien mieux que ce petit film pour drive-in qui est devenu culte pour je ne sais quelle raison artistique.

11.

La Villa Santo-Sospir (1951)

38 min. Sortie : 5 décembre 1952. Art

Documentaire de Jean Cocteau

candygirl_ a mis 5/10.

Annotation :

Blu-ray - Les Enfants Terribles - Édition Collector - Bonus / L.C.J. Éditions

Court-métrage documentaire réalisé en 1952 par Jean Cocteau qui a la spécificité d'être le seul film en couleur du célèbre poète. Durant 36 minutes, on y visite la superbe villa saint-jeannoise appartenant à Francine Weisweiller, une richissime amie de Cocteau, dont ce dernier s'occupa de l'entière décoration murale en créant de somptueuses fresques symboliques. On y apprend, au détour d'un plan, qu'Edouard Dermit est également devenu peintre.

5.3

12.

Les Diables de Guadalcanal (1951)

Flying Leathernecks

1 h 42 min. Sortie : 12 septembre 1952 (France). Drame, Guerre, Action

Film de Nicholas Ray

candygirl_ a mis 4/10.

Annotation :

25xDVD - Il Était Une Fois La RKO / Éditions Montparnasse

Œuvre patriotique avec le sens du devoir, du sacrifice et tout le toutim, Les Diables De Guadalcanal reste avant tout un film d'Howard Hugues avant d'être celui de Nicholas Ray qui dut obéir au doigt et à l’œil au producteur-aviateur. Bardé de B-roll durant ses combats aériens (les acteurs n'étant filmés qu'en gros plan dans le cockpit de leur avion), le film n'offre aucun intérêt artistique à part son intéressant casting.