Malgré son titre tendancieux, surtout par les temps qui courent - pour ne pas dire les temps qui rampent - « Je ne suis pas un homme » est une œuvre complète à mille lieues de la moindre geignardise sociétale.

À voir la couverture, je pensais les dessins proches de ceux de Junji Ito, un style pour le moins approprié dès lors où il s’agit de teinter une mise en scène de noirceurs langoureuses, mais dès le premier chapitre, le graphisme se rapporte finalement davantage aux traits de Takeshi Obata. En beaucoup moins marquants. Le manga, ici, ne cherche pas à nous ébaudir ; il est là pour raconter ce qu’il a à dire et ne va pas au-delà de ses prérogatives.

Junji Ito, par ailleurs, avait lui aussi adapté La Déchéance d’un Homme de Osamu Dazai en manga. Gageons que sa version doit être mieux soignée que dans le cas présent. Faut quand même être prudent quand on adapte un roman ; et là, Furuya ne l’a pas été le moins du monde. On peut pas toujours sublimer une adaptation d’un classique de la littérature japonaise. Mais de là à se planter autant...


L’intrigue, sans trop prendre son temps pour naître, passe la seconde avant de démarrer. Un mangaka recherche un sujet pour écrire un nouveau titre, il tombe sur un site racontant la vie de Yôzô Ôba, un jeune garçon manifestement écorché par la vie. Nous suivons donc son périple à compter de ses années lycée.

Personnage populaire, Ôba n’est pas crédible. Ses farces qui le font être aimé de tous n’ont rien de même vaguement amusantes. Ce sont des bouffonneries exaspérantes, mais en aucun cas des prétextes à un rire franc. Le personnage admettra lui-même être un bouffon, mais l’humour dont fait preuve ce dernier est une épée émoussée par l’indigence ; peu importe comment il s’en sert, l’effet espéré ne sera jamais atteint. Un bouffon populaire, pour être crédible, se doit d’être drôle. Je puis dire avec assurance qu’un spécimen se comportant comme il le fait dans mon lycée aurait fini honni du plus grand nombre si ce n’est dépecé vivant.


J’étais dans un lycée public *musique dramatique*.


Les personnages qui l’entourent ne sont pas plus convaincants du reste. Masao Horiki l’aborde en lui disant « Tu as l’air super cool comme mec, tu as l’air super à l’aise quand tu ris ». Qui, au juste, formule ce genre de phrases dont l’absence de naturel les rend factices à outrance ? Le récit se presse et ne prend pas le temps de bien faire les choses. De là, il perd très vite en crédibilité ; à compter du premier chapitre. Un chapitre où l’on apprend que ce bouffon d’apparat est en réalité une âme tourmentée qui, là encore, énonce ses supplices sans conviction dans ses lamentations introspectives.


Qu’on lise Je ne suis pas un Homme et qu’on me dise que ces personnages, ici supposés attirer sur eux la sympathie du fait de leur personnalité, ne vous auraient pas conduit instinctivement à leur coller des baffes. Les deux sont abominablement mal écrits. On jurerait que l’auteur chargé de relater leur existence s’imagine que la jeunesse se comporte en ces termes ; qu’il fantasme une jeunesse qui, en réalité, n’existe plus depuis bien un demi-siècle au moins.


Ôba, progressivement, tombe dans la déchéance : il fume des cigarettes, bois de l’alcool et va dans un soaaaaap !

Vraiment… Usamaru Furuyama a un demi-siècle de retard sur le monde dans lequel il vit. Je ne voudrais pas le chagriner, mais le jeune moyen, avant même d’être au lycée, a déjà fait quinze fois pire. Je ne dis pas que je m’en réjouis, je me contente de reconnaître l’état de fait. On jurerait que chaque case est pour l'auteur un prétexte pour hurler à pleins poumons à quel point il n’est plus dans le coup.


Et toujours ces encarts narratifs pour nous rapporter en temps réel les glapissements mornes d’Ôba pour le rendre plus insipide que jamais. « Ouais, je payais des prostitué, tu vois… je suis un déglingo malheureux qui me laisse entraîner dans les bas-fonds de l’humanité, je suis pas un mec normal, moi, je suis un putain de mec à part, t’as vu ?». C’est donc ça, d’après l’auteur, le stade ultime de la corruption chez un jeune ? Mon pauvre monsieur, si vous saviez.

Bien sûr, les prostituées tombent amoureuses de lui. Lui qui, dès les débuts de son œuvre, admettait tout faire pour ne pas avoir l’air trop parfait. Raté.


Ses réflexions intempestives nous assaillent et nous étouffent. Ce ne sont là que les tirades faussement blasées d’un personnage finalement exhibitionniste dans ses afféteries supposées malheureuses. Rien d’autre que les tourments adolescents d’un puceau intellectuel qui cherche à faire l’intéressant auprès des lecteurs, et qui n’y parvient même pas. Pour moi qui ai été marginal dès ma jeunesse, loin de la norme, ce genre de réflexions posées sur papier me font rire au plus haut point. Ce personnage principal qu’on nous présente est loin d’être spécial, il est même d’une banalité confondante à justement vouloir se présenter aux lecteurs comme quelqu’un à part. L’anticonformisme, ça ne se décrète pas en prenant des airs, ça, c’est une démarche de poseur.


Si quelqu’un veut savoir comment pense un vrai réprouvé, je leur recommande le visionnage de la série Daria. Nous autres, anti-conformistes malgré nous – car on ne l’est jamais que malgré soi – avons su nous y reconnaître. Je ne suis pas un Homme, en revanche, ça n’est que du babillage puéril d’un merdeux qui veut être spécial à défaut de l’être faute de la plume cassée de l’auteur qui lui a donné vie.


J’aime beaucoup aussi cette pute qui accepte qu’il ne mette pas de capote à leur première rencontre tarifée parce que « Tu me plais », et puis qui interrompt en plus le coït comme ça alors que le client a payé. Ou bien aussi une escorte qui se pique de compassion pour lui en un regard et l’invite même à manger puis à dormir chez elle. Mais dans quel monde vit Usamaru Furuya ? Vous me direz que Furuya n’est que celui qui a transposé l’œuvre de Osamu Dazai en manga, celui-ci étant cette fois établi dans une trame contemporaine, mais c’est à lui qu’incombe la faute. Car c’est une faute que d’avoir écrit son œuvre comme il l’a fait. Dazai est mort en 1948. Quand il écrivait La déchéance d’un Homme dont est tiré le manga, la jeunesse de l’époque n’était alors pas la même que celle de 2011 ; la transposition était de ce fait vouée à l’échec si on appliquait un calque trop fidèle. Entre la jeunesse de La Guerre des Boutons et la jeunesse actuelle…. y’a un gouffre qui s’est creusé. Profond le gouffre. Ça vaut pour la France, ça vaut pour le Japon. En réalité, l’œuvre de Furuya a littéralement plus d’un demi-siècle de retard. Sans avoir lu La Déchéance d’un Homme, on sait que Furuya a foiré l’adaptation d’une ligne à l’autre. C’est qu’on se sent gêné pour lui rien qu’à le lire.


Un bon point tout de même, la litanie d’Ôba sur la question du rachat des bons du trésor américain et la vassalité japonaise envers les États-Unis. Ça, des ââârtistes engagés comme monsieur Tsutsui n’en parlent pas dans leurs pamphlets politiques bien mal drapés dans un manga.


Si je compare Je ne suis pas un Homme à Prophecy, c’est parce que les tares se répondent en écho. Ça cherche à être politique – et bien mal – pour mieux nous vomir un propos immature et infantile. Page une, Ôba rencontre des activistes politiques énonçant leur manifeste en pleine rue. Page deux, Ôba les épate avec quelques lieux-communs – néanmoins pertinents – sur la situation japonaise vis-à-vis des États-Unis, page trois, il les a rejoint et, en leur compagnie, s’apprête à commettre un attentat pour faire sauter l’Assemblée Nationale. Quel trésor d’écriture… ça sera parvenu à être encore plus improbable que Ki-Itchi.


Bien sûr, notre bon Ôba a un problème avec papa. Et c’est en ça qu’il n’a rien de spécial. Quelqu’un qui évoluerait dans un environnement familial sain pour devenir dysfonctionnel sur le plan humain serait original… mais ça n’est ici que le résultat bien prévisible de causes foncièrement éculées. Lire ou relire L’Enfance d’un Chef de Sartre sera infiniment plus instructif dans un même registre.

À moi aussi on me disait de sourire sur les photos de famille. À force de voir que je détestais ça, on a arrêté de m’y faire figurer et on m’a laissé en marge. Je ne suis pas passé par la case attentats et soap pour autant.



Y’a pas de soap en France.


Toujours est-il que ce vilain papa coupe les vivres au fiston quand il ne va plus au lycée. QUEL MONSTRE !

Mais bon Dieu, faut-il avoir une mentalité de petit bourgeois sûr de son bon droit pour s’en offusquer. Le père, il travaille, le père il pourvoie, en échange, le fils est tenu de respecter ses engagements et de traîner son gros cul jusqu’au lycée. L’amour filial inconditionnel, c’est acceptable le temps d’un film Disney ; dans les faits, c’est conditionné. Des parents n’ont pas à faire preuve de mansuétude envers un ingrat. Ôba est un petit con, mais pas pour les raisons mises en avant par Furuya, il l’est à l’insu de ce qu’en pense son auteur.


Et le pire, c’est que ce pauvre Ôba est toujours arrosé par le pognon de papa, la somme est simplement moindre. Alors, ce petit con – y’a pas d’autres termes – en viendra à se lamenter en geignant « Comment vivre avec 60 000 yens (un peu plus de 600 euros en 2011, période à laquelle se déroule le manga) par mois ?... ». Et ce faisant – comble de l’indécence – la narration enjoint le lecteur à le plaindre. Alors… amis (ou ennemis) étudiants et chômeurs, vous me direz ce que vous évoque ces malheurs. Essayez de ne pas en rire trop fort. D’autant que tout ce qu’il avait à faire pour toucher à nouveau le pactole précédent garanti par pâpâ… c’était d’aller au lycée.


C’est drôle. Je me suis dit que si on lisait Je ne suis pas un Homme sans les dialogues, on jurerait suivre les aventures d’un gigolo estimé des plus belles femmes que compte ce monde.

Autre symptôme m’amenant à considérer la parenté avec Prophecy, c’est l’égocentrisme qui ressort du manga. Ôba a une idée, il va écrire son autobiographie…. à 18 ans. S’il n’a pas d’idée de titre je propose « Récit d’un petit bourgeois doublé d’un branleur idéaliste et mièvre à qui tout réussi mais qui s’en plaint ostensiblement ». C’est un peu long, mais ça permettrait de bien situer le sujet.


Bien sûr tous les personnages sont écrits en vitesse, et cette fainéantise de Furuya donne lieu à des situations narratives qui sont à se la mordre.


- En fait, tu vois, je veux mourir. Je suis triste, ce genre de trucs, donc voilà, hein, suicide.

- Écoute, ça tombe rudement bien, moi aussi. Papa m’a coupé les vivres, la vie est trop dure. Allez hop, c’est décidé, je me fous en l’air.

- Ah bah ! Quelle chance, y’a la mer juste à côté. Ça te dit qu’on se noie, là, tout de suite ?

- Pas de problème !


Je détourne à peine la conversation en la rapportant en ces termes. Les deux – Ôba et l’escorte – se connaissent depuis deux jours, n’ont pas franchement de quoi se foutre en l’air, mais l’idée se décide comme ça, spontanément, avec désinvolture. Dieu que c’est mal écrit. Tellement qu’on en rit.


Aussi, vous pouvez m’expliquer comment on se plaint d’une âme damnée qui passe son temps à niquer toutes les plus jolies filles qui passent en un regard à peine ? Parce qu’entre les putes qui tombent amoureuses, la militante politique, l’éditrice, la buraliste, toutes étant des femmes parfaites sur tous les plans et dévouées sans raison à Ôba jusqu’aux extrémités les plus absurdes, j’ai un peu de mal à souscrire à son malheur. Y’a comme quelques indispositions à l’empathie. Surtout que les histoires d’amour n’ont aucun fondement. En un regard, il séduit le tout venant qui, alors, lui laissera toujours tout passer. Il demande en mariage la buraliste qu’il ne connaît même pas… et elle accepte. Je vous ai déjà dit que l’écriture était remarquable ? Remarquablement stupide, certes, remarquable néanmoins. Les personnages féminins – toutes étant amenées à coucher avec le personnage principal à l’exception de la tenancière de bar qui est trop vieille - mais qu’on verra quand même à poil - sont des plantes vertes sympathiques. Elles se laissent faire, sont passives et obéissantes et acceptent tout d’un petit con alors que rien ne le justifie dans la trame. C’est pas faire honneur aux femmes japonaises que de les présenter sous ces traits. Elles sont toutes parfaites, mais elles sont si parfaites qu’elles en deviennent absolument irréelles. Quand un type avec des opinions aussi tranchées que les miennes sur le sort de la femme moderne, en vient à défendre l’honneur de ces dames, c’est qu’on a franchement merdé dans l’écriture de ces dernières.


Et les complexes paternels se poursuivent. « Papa me contrôle avec son fric ! » pour plus tard dire « J’aimerais avoir de l’argent » alors qu’il persiste à se lamenter.

Je t’explique mon garçon. Ton père est à la tête d’une énorme entreprise influente jusqu’à un niveau où le personnel politique ne peut pas passer à côté. Et cet homme-là, il veut un successeur ; un qui soit de son sang. Ce type, ce salaud de riche – car les riches sont tous des salauds – il t’offre la voie royale vers l’opulence et le pouvoir pour que tu puisses en profiter à ton tour. Cet homme qui te contrôle le fait pour qu’un jour, toi-même tu puisses être en position de contrôler. Ton père, tu devrais pas le maudire, mais lui ériger une statue en or massif. Parce que crois-moi, ils sont pas nombreux les merdeux de ta caste à avoir eu tes opportunités. Non, monsieur Furuya, on ne me fera pas pleurer sur le sort d’un merdeux qui a le monde à portée de main.


Vient un moment où il se demande s’il ne serait pas un peu un parasite… mais ça lui passe assez vite. On est très loin d’un Bonne Nuit Punpun. C’est même incomparable tant le personnage ici est écrit d’une main de parkinsonien ivre-mort. Comment voulez-vous qu’il soit un dépravé crédible en proie à la déchéance alors que tout lui réussit ?

Parce que TOUT lui réussit. TOUT ! Il écrit son premier script de manga sans aucune expérience. Là-dessus, il arrive à la fraîche devant le premier éditeur qui se présente à lui… et il peut commencer sa série. Mais comment un type comme Furuya, lui-même mangaka, peut autant insulter l’intelligence de ses lecteurs et de ses confères ? Lui, comme les autres, en a sûrement chié des ronds de chapeau pour se faire publier pour la première fois, mais il nous sert ce genre d’âneries.

Il se marie comme ça, Ôba, sur un coup de tête stupide, et tout va instantanément mieux. Le bonheur parfait – et donc improbable – s’installe sans coup férir dans une intrigue où le personnage principal n’a finalement connu que des raisons de se réjouir. Et là, patatra, l’élément perturbateur survient : on viole sa femme. C’est tellement forcé dans l’intrigue pour créer du drame de nulle part qu’on ne considère pas la scène autrement que comme un artifice tapageur. Rien qu’un moyen artificiel de continuer à tracter un récit qui était déjà à l’arrêt dès sa première page.

De là, Ôba est tellement mécontent que ses cheveux blanchissent. Cherchez pas… moi-même je n’ai même je n’y ai pas prêté attention. Quand un petit con fait l’intéressant par tout moyen, il ne faut pas lui accorder l’attention qu’il requiert, sinon ça l’encourage à continuer.

Et entre en scène le gentil immigré iranien qui, spontanément et en sortant de nulle part – comme tout le reste des éléments du scénario – vient à son secours avec de la drogue. Obâ, devient inutilement odieux envers sa femme.

Qui, très franchement, va accuser sa femme victime de viol de vouloir coucher avec tout le monde ? Qui pour croire qu’elle tombe enceinte d’un autre alors que, comme toutes les autres gourdes du manga, celle-ci est d’une loyauté d’épagneul envers lui ? Qui pour prendre au sérieux sa tentative de proxénétisme de sa propre épouse ? N’importe quelle femme aurait déjà mis les bouts depuis longtemps. Le misérabilisme est d’un ridicule sans borne et dessert évidemment un propos déjà bien mal articulé par un manga qui n’a rien à dire et le crie sur tous les toits. Rien n’est naturel dans les misères qui se présentent, rien n’est vraisemblable. On n’y croit pas une seule seconde tellement tout ça est racoleur et irréfléchi.

Le mangaka qui lit alors les chroniques de Ôba – et qui se trouve être l’auteur même de ce manga Usamaru Furuya – s’exclame « Qu’est-ce que ce journal intime ? On dirait un cauchemar ». Les grands esprits se rencontrent. Un cauchemar aussi mal écrit ne parviendrait cependant pas à faire peur, mais à faire rire malgré lui.


Cette lecture, comme celle du manga Les Fleurs du Mal ou encore Bokutachi ga Yarimachita m’a été recommandée par NateB. Nate, cher ami, je comprends. Comme toi, j’ai adoré Bonne Nuit Punpun, moi aussi j’ai voulu un jour retenter l’expérience en passant par des œuvres analogues… mais soyons lucides, ça ne se fera pas. Même son propre auteur n’a jamais été capable de récidiver. La foudre ne frappera pas deux fois au même endroit, il faut se faire à cette idée. Ne pleure pas, ça va aller. Ce que tu fais, en lisant des mangas comme Je ne suis pas un Homme, cela revient à te défoncer au crack coupé à l’asphalte en cherchant vainement à expérimenter à nouveau les effets de la cocaïne de Colombie d’antan. Rien de bon ne ressortira de ces expériences. Ne t’infliges pas ça, je t’en prie, je t’en conjure… même que je t’en supplie. Il y a des gens qui t’aiment tu sais, les lecteurs de cette critique t’écriront peut-être pour te faire parvenir leur soutien - ou pour te donner des conseils de lecture se rapprochant de Bonne Nuit Punpun. Faut pas t’abaisser à lire des horreurs pareilles. Faut pas. Tiens bon.


Mais continue quand même d’envoyer quelques titres à l’occasion. Ceux qui ne seront pas calcinés par mon acidité critique pourront peut-être un jour me réjouir.


Josselin-B
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le 3 juin 2023

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Josselin Bigaut

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