10
Les pleurs du mâle
je m’enferme souvent dans ces toilettes où la lumière s’allume automatiquement et colore ma peau du même jaune que ces types au foie défectueux dehors ces hommes que j’appelle collègues se...
Par
le 25 avr. 2013
31 j'aime
6
SensCritique>Livres>Poésie>Les jours s'en vont comme des chevaux sauvages dans les collines>Critiques>Avis de Phalloc
Au coeur de la poésie...
Lu en version française avec autant d'émotion que ses poèmes en anglais. Le style permet ça sans doute. La poésie aura rarement été si près des choses, si sincère et déroutante. Bukowski est simple, mais juste, lyrique et pragmatique, violent et touchant. Les mots manquent pour parler de ce monument...
Un livre à emporter partout, à lire et relire sans forcer.
10
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 19 janv. 2018
Critique lue 196 fois
1 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur Les jours s'en vont comme des chevaux sauvages dans les collines
8
Quand le Soleil brille sur les rêves envolés
Poésie 1. 2ème partie ici :https://www.senscritique.com/livre/Fight_Club/critique/256827565 La chaleur entrait par les persiennes Et diffusait une vapeur collante Dans le grand open space L'odeur...
Par
le 9 oct. 2020
8 j'aime
10
5
Critique de Les jours s'en vont comme des chevaux sauvages dans les collines par grandpa
J'ai souvent eu envie de lire autre chose que la prose de Buk. Et bien c'est raté. Puisque ici les vers sont rares et que même lorsqu'il se mue en poète, l'homme écrit en prose. Décidément ... Plus...
Par
le 17 mai 2012
3 j'aime
3
Du même critique
10
Un grand bouquin par un grand écrivain (trop humain)
Un livre qui se lit aussi vite que file son histoire. Dan Fante nous raconte la mort de son père, l'immense John Fante. Il nous parle tour à tour de souffrance, de deuil, d'alcool et de sexe...
Par
le 19 janv. 2018
