9
Une révélation.
Hypnotique, brillamment écrit, Malpertuis est une révélation. Mon avis : Découpé en plusieurs voix, le récit est en grande partie mené par le jeune Jean-Jacques Grandsire qui, errant dans l’épaisse...
le 15 janv. 2014
11 j'aime
La maison hantée
Classique, s’il en est, de la littérature belge, Malpertuis me laisse sur ma faim. Et pour cause, c’est un sentiment indigeste qui me pèse sur l’estomac. Je ne sais vraiment que penser de ce livre. J’y ai beaucoup réfléchi, j’en ai relu des passages complets, surtout la fin, et j’en suis toujours au même point : mitigé.
Car voilà : ce roman polyphonique est confus, sa construction alambiquée, ses références obscures et sa chute tortueuse. C’est sûr, il est rempli de bons personnages qui évoluent dans un décor fascinant, l’atmosphère de cet âpre roman est palpable mais le résultat est trop embrouillé pour être réellement captivant.
La suite sur mon blog.
6
Écrit par
Créée
le 23 juin 2016
Critique lue 421 fois
1 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur Malpertuis
8
L’horreur dans sa splendeur
Jean Ray publia Malpertuis en 1943, en pleine Guerre Mondiale. A l’époque, le fantastique était un genre très prisé, car il permettait de se divertir avec des peurs imaginaires et ainsi s’évader de...
Par
le 17 mai 2013
7 j'aime
1
7
La maison sur la gauche
Avant de se lancer dans la lecture de cet ouvrage je ne pourrai que conseiller aux lecteurs de relire ses classiques de la littérature grecque ou au pire de s'armer de Google lors des derniers...
Par
le 23 mars 2012
3 j'aime
Du même critique
2
Critique de Les Furtifs par TmbM
Laborieusement arrivé à un peu plus de la moitié de ce livre tant attendu, je cale. J'ai vaguement parcouru les quelques centaines de pages supplémentaires par acquis de conscience mais sans aucun...
Par
le 11 mai 2019
8 j'aime
5
9
Critique de Jours barbares par TmbM
Journaliste et écrivain, William Finnegan a également fait ses preuves comme surfeur. C'est d'ailleurs en tant que tel qu'il oriente ses mémoires. Le surf n'a jamais réellement fait partie de mes...
Par
le 14 avr. 2017
6 j'aime
5
Critique de Au printemps des monstres par TmbM
Il ne lui faut pas moins de 750 pages bien tassées (et environ un million de parenthèses (l'auteur ne perd pas ses bonnes habitudes (et c'est (presque) devenu sa marque de fabrique))), pour réaliser...
Par
le 18 août 2021
5 j'aime
1
