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Arcane
8.2
Arcane

Dessin animé (cartoons) Netflix (2021)

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Riot a dit "Que la lumière soit", et Arcane fut !

Au fur et à mesure que les saisons passaient, que les trailers se succédaient, annonçant les futurs champions d'une manière toujours plus recherchée... en observant ce dont était capable les personnes derrière Riot Games, les joueurs du jeu League of Legends ont, en toute logique, commencé à demander un film qui se déroulerait dans l'univers fictif (et grandissant) de Runeterra. Riot Games a fait beaucoup mieux et, à l'instar de nombreux autres univers de Fantasy, a offert une série !
Arcane, série Netflix tout fraichement diffusée et déjà la nouvelle poule aux œufs d'or de Riot Games : neuf épisodes d'une quarantaine de minutes chacun répartis en trois actes, implantés dans l'un des univers vidéoludiques le plus célèbre au monde. Ils ont voulu frappé fort et maintenant, plus rien ne sera comme avant.


La série se focalise sur les "villes jumelles" de Piltover et Zaun, en proie à des tensions : Piltover se veut cité du progrès et parvient à ses fins grâce à la découverte des cristaux Hextech, tandis que Zaun vit au pied de cette amélioration de vie, grignotant les restes du paradis technologique. C'est dans les bas-fonds que Vi et sa sœur Powder vivent, et survivent.
Pas plus de spoil ; enfin, si, je vais tellement être obligé - donc vous êtes prévenus !


En fan (contrasté) du moba, avec un attrait bien plus important pour le lore que pour le jeu vidéo en lui-même, l'annonce de la série a été un véritable choc bienvenu. Enfin une possibilité d'offrir une vision originale de Runeterra, de ne plus être cantonné à deux images, trois textes descriptifs (j'insiste néanmoins pour spécifier le talent des auteurs du lore) et deux lignes de dialogue "in game" pour s'imaginer ce qu'il y avait au delà de la fameuse Faille de l'Invocateur. Avec l'essor du lore, puissamment nourri en détails, précisions et événements nouveaux, l'adaptation du jeu vidéo sur grand écran (en l'occurrence ici sur petit écran ; ce qui - à l'heure actuelle - est le choix le plus logique en terme d'efficacité et de rentabilité) était devenue une évidence. Et pour un tel mastodonte, il fallait frapper très très fort : montrer que les millions brassés grâce aux skins serviraient à quelque chose ; j'ironise mais grosso-modo, c'est à peu près l'idée. Et je dois avouer qu'en terme de série, depuis The Dark Crystal - Age of Resistance, je n'avais pas pris une aussi énorme claque !


Concernant le scénario, l'idée de prendre un peu de recul chronologiquement parlant pour amener à comprendre pourquoi tel ou tel personnage est comme ça dans le jeu, ou même pour expliquer plus généralement la logique des conflits sur Runeterra, est extrêmement bienvenue : il y a possibilité d'interloquer les joueurs vétérans en proposant une construction de personnage, ou de lieu, atypique. Et bien évidemment, avant de rentrer plus en profondeur dans la critique, il est à noter que cette série peut aisément être visionnée sans que l'on est la moindre connaissance sur le lore de League of Legends ; même si c'est dommage. Et c'est vraiment l'un des points forts de la série : les vétérans reconnaîtront leur champion favori (ce qui a tendance à faire germer une partie de ce que je considère comme un point négatif mais on va revenir là dessus plus tard), les clins d’œil (objets, compétences de champion)... tout en étant "impressionné" par les divers rebondissements, rebondissements qui marcheront à la perfection pour des nouveaux venus dans cet univers. Grosso-modo, les réalisateurs/scénaristes sont partis du principe que personne ne connaissait les personnages, ont fait une histoire avec ça (les trois actes seront soulignés ci-dessous) et voilà, tout simplement. Et le fait que l'intrigue soit maîtrisée permet aux uns comme aux autres de profiter du divertissement, malgré les écarts de connaissances.
Pour reprendre là où j'en étais, mettre sous les projecteurs la vie passée de nos champions (quelques-uns seulement, il y a pour l'heure près de 156 champions, ça ferait beaucoup pour une dizaine d'épisode ; on n'est pas dans un roman de Balzac non plus) a quelque chose de passionnant, notamment lorsque l'on voit qu'il y a une différence drastique entre les caractères des personnages "in game" et dans la série. S'il fallait disséquer plus profondément, que dire... Le divertissement est au rendez-vous, naturellement. Mais les thèmes abordés sont-ils si originaux ? Pas forcément, et je doute qu'il y ait eu une volonté de révolutionner la manière de raconter quelque chose : la dualité entre progrès et décadence / paradis et enfer, la recherche de soi-même et la perte de l'autre, l'élévation par la grandeur ou par l'avilissement... c'est vu et revu, quand bien même voir ces thèmes appliqués à League of Legends est intéressant. Sauf que c'est à cet instant que l'on commence à voir quelque chose : le scénario ne sert pas les personnages, les personnages servent le scénario. Même si des notions de politiques, d'alliances entre les diverses régions du continent, entre les Barons de la Chimie et les scientifiques de l'académie de Piltover... sont mis sur la table, offrant la si désirée substantifique moelle de Runeterra, on se rend compte rapidement que la visée principale du scénario est de nous faire comprendre le passage d'une personnalité à une autre (ce qui concentre alors l'importance autour du personnage de Jinx). En soi, pourquoi pas, et tant mieux ! Mais le lore de League of Legends est si grand et en constante fabrication que de se retrouver avec une création qui préfère mettre les accents sur l'évolution des personnages plutôt que sur l'explication des dualités entre les différentes cités... c'est dommage, mais en un sens, comme déclaré plus tôt : il faut que les différents pourcentages du public comprennent ce qu'il se passe à l'écran.
Mais bien évidemment, tout n'est pas rose (à contrario des cheveux de Vi ; qu'est-ce que je suis drôle !), la structure en 3 actes par exemple. Alors certes, c'est une construction scénaristique largement et abondamment utilisée par de nombreux supports (littéraires, télévisés, filmiques...) mais c'est également le meilleur moyen de saboter un projet... La structure en trois actes, qu'est-ce qu'elle dit ? Trois parties : une introduction couplée/suivie d'une perturbation, un corps qui tend les tensions justement et une conclusion qui, normalement, résout la totalité des problématiques soulevées ; pour la série, trois épisodes par acte et avec un tel schéma, dès l'instant où l'on a regardé avec attention les trois premiers épisodes, on a littéralement une idée de la suite, de comment elle va s'imbriquer dans la continuité de l'introduction, comment elle va se clore... Bref, on peut facilement deviner le scénario dans les grandes lignes ; quelque part, heureusement que les réalisateurs ont décidé de faire, d'une part une deuxième saison (SPOILER !) et d'autre part - un excellent point - de clore leur différent épisode à coup de tranchoir de l'action, ce qui suscite l'impatience du spectateur en amputant une intrigue possiblement résolue dans sa finalité.
C'est ce qu'il faudrait retenir du scénario : nous avons une histoire qui accroche, qui nous immerge mais qui va surtout l'être pour ceux qui connaissent et le lore et les champions de manière presque irréprochable. Si nous sommes complètement nouveaux dans cet univers, le délice n'en sera pas moins puissant, mais il perdra en substance. Une histoire qui a un potentiel immense, des intrigues brillamment ficelées mais une structure qui laisse à désirer - je signale que si l'armature de la série n'est pas parfaite, elle ne gâche en rien le contenu, loin de là ! L'intrigue est prenante et il y a toujours un détail, un quelque chose qui rappelle la vigilance du spectateur, l'embarquant sur un chemin qu'il n'avait pas tout à fait imaginé.


Pour les personnages, bien évidemment, c'est pour cela que la série existe, il ne faut pas se leurrer !
Et on va commencer avec les personnages tirés du jeu vidéo : c'est juste un cadeau merveilleux ! Jinx, Vi, Caitlyn, Jayce, Viktor, Heimerdinger, Ekko et j'en passe : les voir cohabiter, résonner ensemble, se battre, s'aimer et se haïr, c'est un pur bonheur. La série fonctionne par duo et toutes les relations et évolutions fonctionnent de cette manière. Le premier, le plus attendu je suppose, celui entre les deux sœurs Vi et Jinx, qui va surtout s'attarder sur la folie naissante et dévorante de Jinx vis-à-vis de son "abandon" par Vi. De tous les personnages, Jinx est celle qui est mise à l'honneur avec un travail appliqué sur sa démence contractée, sa construction schizophrène est impressionnante et l'évolution de cette folie morbide passe par tellement d'étapes que l'on en vient à être perdu quand on nous demande qui est à l'origine de Jinx (et même si ladite personne donne un nom sur ce changement irrévocable, je demeure persuadé que la réponse reste plus compliquée que cela). La mise en scène de sa folie est tout bonnement un succès, une construction aux petits oignons ! Deuxième duo de la série : Vi et Caitlyn, et là ! Ça fait bouillir, et ça divulgue :


Du plus loin que je me souvienne, et à vrai dire, je ne me souviens plus précisément si c'était le cas mais Riot Games, concernant plusieurs de ses champions, avait plus ou moins confirmé diverses relations amoureuses parmi les théories et volontés des joueurs (Garen-Katarina, Lux-Ezreal, Tristana-Rumble-Teemo...) et la relation Vi-Caitlyn n'a jamais été que des suppositions à plus ou moins gros traits, surtout quand on écoutait, dans le jeu, les différentes interactions qu'elles avaient entre elles (le fameux "Cupcake" pour ceux qui savent). Mais il semblerait, c'est en construction - il faudra véritablement attendre la deuxième saison pour voir ce qu'il en est, que l'on ait décidé d'en faire un couple lesbien à part entière. Moi, en grand romantique, j'adhère complètement - d'autant que je fais parti des personnages qui voulait de cette relation : si la construction amoureuse est quelque peu bateau, elle n'en demeure pas moins touchante et ça me tue (oui, c'est subjectif) littéralement de ne pas avoir de conclusion stable. Sauf que, si je reste fou de cette relation qui allie humour, partage et chagrin (la totale en somme), je demeure perplexe vis-à-vis de la question lgbt au sein du jeu League of Legends (c'est une parenthèse un peu énorme mais bon...) : si nous avions des couples hétérosexuels dans le jeu, nous avions quelques mentions de couples lesbiens (Vi-Caitlyn, Leona-Diana entre autre) et le fait que cette série ait eu un extraordinaire succès m'interroge quand à la représentation de la sexualité au sein du jeu car nous pouvons apercevoir la confirmation de plus en plus de couples lesbians - notamment avec l'arrivée de Neeko, reconnue comme telle. Alors, personnellement, cela ne me pose absolument aucun problème mais quitte à donner de la voix aux couples homosexuels, où sont les couples gays ? Nous avons bien quelques mentions (par contre, je suis un farouche défenseur du couple Lux-Ezreal ; à aucun moment vous me ferez croire en Ezreal-Taric) mais cela s'arrête là. C'est une évolution qui risque d'amener à quelques interrogations à l'avenir... Mais bien évidemment, et vous l'aurez constaté quant à la pauvreté de mes propos précédents ou même le non-sens de ma remarque mais pour le moment, ce n'est qu'une remarque et un début d'interrogation, rien n'est encore joué, rien n'est encore dit.
Pour en revenir à la relation Vi-Caitlyn, j'attendrai la deuxième saison avec impatience en espérant d'excellentes surprises.


Mais outre cela, le duo reste très attachant dans les péripéties qu'il traverse, notamment avec cet écart en habitant de la surface et des profondeurs. L'entente et l'amitié (héhé) de ces deux protagonistes sont tout bonnement adorables.
Troisième et avant-dernier duo (parce que je ne vais pas tous les faire non plus) : les scientifiques Jayce et Viktor, et là aussi, je vais attendre avec impatience la saison 2 pour conclure quoi que ce soit mais nous avons là une amitié à fort relief : un mélange de passion platonique et respectueuse avec quelques brins de jalousie et de non-confiance qui rend le duo parfait dans son évolution, sans compter là encore la dualité habitant de la surface (volonté d'utiliser l'Hextech pour améliorer la vie à Piltover) et des bas-fonds (volonté d'utiliser l'Hextech pour sauver les habitants de Zaun)...
Et enfin, le duo Jinx-Silco. Alors, qui est Silco ? C'est le grand antagoniste, du moins est-il peint par nos yeux affamés de manichéisme, de la série et l'un des personnages les plus charismatiques que j'ai pu voir dans l'univers de League of Legends depuis le champion Jhin (nombreux sont ceux qui pensaient que c'était un seul et même personnage). Silco est un personnage créé de toutes pièces, et je vais y revenir mais c'est un excellent point, qui se veut le père adoptif de Jinx et leur relation est juste touchante au possible : comment a-t-on pu nous faire donner autant d'empathie et de compassion à ce personnage ? Si certain voit cette relation comme plagiée sur celle du Joker et de Harley Quinn dans les Batman, j'aimerais ajouter que, certes, c'est la même relation mais en inversé : là où le Joker arrive à contrôler Harley Quinn, Silco perd petit à petit l'ascendant qu'il a sur Jinx avant de la perdre complétement, ce qui ne tue pas la profonde affection qu'il lui porte et c'est là une des beautés du personnage, il sait être cruel, intimidant tout en gardant un cœur derrière sa haine revendiquée.
Et pour clore rapidement avec les personnages issus du jeu vidéo, c'est également un plaisir immense de les rencontrer, de comprendre leur passé et de les voir grandir, se perdre, échouer, espérer... Ce qui m’emmène aux personnages secondaires : ils sont nombreux et tant mieux ! Une série sur l'univers de League of Legends uniquement habillée par des personnages du jeu aurait été d'une connerie monumentale ! Offrir des personnages nouveaux, à l'image de Silco, totalement indépendant du jeu vidéo est une richesse absolue, ce qui prouve que les réalisateurs et les développeurs du jeu sont capables d'animer leur univers, de le rendre vivant en s'écartant des grandes figures héroïques du jeu. Le problème... c'est que ce sont des personnages secondaires, et leur temps à l'écran est variable entre le moyen-court et le très trop court... C'est incroyable à quel point la plupart des protagonistes/antagonistes secondaires sont mortels, mais dans le sens incapables de rester en vie plus de trente secondes. C'est un point dommage lorsque l'on se rend compte que certains personnages secondaires, à l'image de Mel, vont devenir des champions à part entière sur le jeu. Alors, en soi, c'est une méthode innovante d'introduction de champions mais d'un autre côté, je trouve cela pas très cool que de vouloir absolument, si le sujet est encore en vie, en faire le prochain personnage jouable, ce qui ôte toute forme d'inédit... Mais ce que je trouve également dommageable, et là encore, c'est le côté subjectif du critique déjà très subjectif qui parle, c'est les théories qui naissent autour des différents personnages : absolument tout le monde désire que tout soit lié entre les champions du jeu. Je m'explique mal mais je m'en vais introduire un exemple : dans la série, nous pouvons saluer le personnage de Singed (champion du jeu) et l'entendre déclarer qu'il a eu une fille, fille dont on voit rapidement le portrait et qui ressemble à s'y méprendre à Orianna (autre champion du jeu), au point que certains désirent à présent absolument que Singed soit le père d'Orianna. Pourquoi vouloir absolument tout lier entre les champions du jeu ? N'y a-t-il pas la possibilité d'imaginer une non-réponse ? D'autant que le père d'Orianna est nommé et dans son lore et qu'on peut le voir dans le jeu (à moins que cela ait changé depuis le temps, je ne suis plus certain). Faire des théories, je n'ai rien contre (quand bien même, je prouve l'exact contraire avec mon exemple ci-contre), ça permet de maintenir la flamme de la passion le temps de la saison 2 sorte mais bon... Faut pas déconner non plus, il y a théorie et théorie...
On va arrêter là, je n'ai que trop peu de poids dans ce domaine donc concluons rapidement pour ce qui est des personnages : c'est de la bombe ! Et ce, sur tous les plans même si l'on peut soupirer à la vue des protagonistes secondaires, quelque peu mal menés.


Pour les graphismes, c'est le studio français Fortiche qui s'est occupé de l'animation, et je crois que tout le monde l'a dit, répété, hurlé mais c'est d'une qualité tout bonnement monumentale ! Le studio travaillait déjà sur les trailers de K/DA alors le voir plancher pour neuf épisodes de quarante minutes chacun avec la même touche graphique, c'est un rêve éveillé ! Le rendu est impeccable, le cachet est original, les expressions faciales travaillées, les jeux de lumière méticuleusement détaillés, l'immersion à Piltover et à Zaun tout juste impeccable : sur tous les niveaux, et il n'y a rien à redire, tout est parfait. Sans compter les écarts graphiques que se permet le studio pour les flashback, les visions... qui apportent une véritable diversité au sein de l'image. Un travail colossal que l'on ressent à travers chaque scène, chaque action, chaque mouvement (d'une fluidité - quitte à s'écarter un peu de la qualité graphique - fascinante avec des combats dynamiques, fluides et diablement bien orchestrés)... et qui fait de cette série une réussite sur quasi tous les domaines.


Et même si je suis généralement public très exigeant, la musique est également un point fort. Alors, je me posterai d'emblée comme hérétique : le générique d'introduction, je n'adhère pas. Il est certes original (graphiquement parlant, rien à dire) mais la musique ne me séduit pas des masses, hormis juste avant la première confrontation entre Vi et le bras droit de Silco (épisode 5 si je me souviens bien) où là par contre (car c'est la même musique), elle s'insère à la perfection ; me rappelant énormément mes sensations à l'écoute de la musique de Daniel Pemberton dans le film Le Roi Arthur : La Légende d'Excalibur, avec un son qui accompagnait parfaitement les visions maladives du héros.
Autrement, la musique est de qualité - mention spéciale à la dernière mélodie du dernier épisode, d'une richesse inouïe d'éloquence - supérieure, un véritable bijou !


Incontestablement, Arcane n'est pas ma série favorite (vive The Dark Crystal - Age of Resistance !) mais elle est d'une puissance indescriptible : Riot vient de franchir un cap et plus rien ne sera à présent comme avant. Cette série est la preuve que le studio de développement à l'origine du jeu League of Legends est capable de faire des merveilles sans nom, marquant à jamais l'histoire de son jeu. Cette série, cette œuvre, cette excellence, je l'a recommande mille fois, autant à ceux qui ont déjà goûté au jeu qu'à ceux qui n'y ont jamais mis les pieds ; et un conseil à ces gens là, si vous avez apprécié la série Arcane, n'installez pas League of Legends ! Vous faites ce que vous voulez mais il serait dommage d'avoir autant apprécié la série pour que vous vous rendiez compte à quel point la communauté du jeu, et le jeu en lui-même, est rongée de bâtardises. Très sincèrement, je ne vous conseille pas le jeu, contentez-vous de la série et patientez pour la saison 2. Une série de cette ampleur, de cette qualité et capable de mettre un soufflet pareil, on n'en a pas tous les jours, c'est moi - petit critique - qui vous le dit.
Et n'oubliez pas : la Fantasy nous appartient !

PhenixduXib
9
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le 24 nov. 2021

Critique lue 420 fois

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