
Lorsque l'on parle d'un cinéaste abordant le style d'un autre, on parle souvent de sous-quelque chose, ici c'est le contraire. En effet, j'ai l'impression que le réalisateur François Jaros fait du Jonathan Glazer, mais en mieux. En plus percutant. Plus étrange. Plus dans l'outrance. Plus silencieux. Et surtout plus puissant. Suivre ce convoi de prostitué suivre des hommes sous un contexte du... Lire la critique de Oh What a Wonderful Feeling