Critiques de EmpereurMato

Si la mode est un éternel recommencement, l’humanité se déplait à réouvrir ses plaies au fil des siècles. Enfants du passé, enfants de l’éternité.

Dans la froideur d’un quotidien délaissé de tous, un commissariat polarise la misère sociale.

Théorisation de la dureté comme transmission paternelle plus propice à l’acting qu’à la réflexion.

Éradiquer le cercle vicieux sans tomber dans le trou, impossible de faire le point sans rentrer dans la ronde.

Dans une quête inlassable de perfection, faire vivre l’ombre et la lumière en soi à s’en bruler les ailes.

Joker chante pour s’offrir un second chapitre, clown à la recherche d’un alter ego. En vain.