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Le murmure des lamentations
Ouais. Pas besoin d'être grand clerc pour deviner que ça va faire pleurer dans les chaumières du cinéphile dont l'adjectif favori est "nécessaire" et qu'il va pleuvoir des statuts de gens exhibant...
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il y a 2 jours
Anti-popcorn, je perds mon sang-froid.
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Jeux vidéo
1
Morceau
Bah, la fin est un peu contrainte et peu plausible, mais c'est la meilleure adaptation de Stephen King cette année (jamais compris l'engouement pour l'existentialisme dégoulinant de Life of Chuck)
il y a 4 jours
1 j'aime
Le jeu d'acteur du chien est mille fois plus diversifié et expressif que celui d'Orelsan dans Yoroï. Impressionnant.
il y a 5 jours
1 j'aime
Chez Netflix, le monstre de Frankenstein est un BG émo fuckable à souhait. En fait, mon petit Guillermo, l'érotisation chez les monstres ça marche juste pour les vampires
il y a 7 jours
4 j'aime
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5
Running Man of The Mill
Entre l'existentialisme sirupeux à l'esthétique publicitaire de Life of Chuck et l'interminable chemin vers l'ennui et le mauvais mélo de The Long Walk, je pense que c'est encore la meilleure...
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il y a 3 jours
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L'art pas si raffiné de l'autofellation
Un film dans la même démarche autocentrée et auto-thérapeutique que Hurry Up Tomorrow, il y a juste l'exécution qui diffère. Hurry Up Tomorrow est une sorte de Misery surréaliste du pauvre bourrée...
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il y a 6 jours
2 j'aime
