Green Day et moi, c’est une longue histoire d’amour qui dure depuis plus de 15 ans. A l’époque, American Idiot (2004) avait véritablement dynamité mon univers musical jusque-là assez pauvre, avec un opéra-rock conceptuel aux accents révolutionnaires mais brandissant fièrement l’étendard -souvent conspué- du mainstream. Une fois cet uppercut musical assené et encaissé, et malgré un « affinage » de mes goûts au fil du temps, j’ai toujours conservé une réelle... Lire la critique de Father of All Motherfuckers