Kitsch à souhait, voire parfois complètement anachronique, la force de cet album réside dans le fait qu'il fonctionne malgré tout! Ça peut sonner comme le générique d'une vieille émission (Can't Hear My Eyes) ou comme un vieux jeu vidéo (L'estat), on peut y entendre un cri de Tarzan (Beverly Kills) ou quasiment plagier Joy Division (Revolution is a Lie): le tout relève quasiment de l'épreuve de force! Ajoutez à ça des titres de chansons disons... improbables (Menopause Man). En somme, c'est hier qui s'invite aujourd'hui pour nous offrir une nostalgie des plus audacieuses.
Templar
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le 22 déc. 2011

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