le 19 janv. 2012
Double peine
(Chronique "La critique introspective, c'est pas pour les endives" n°3) Été 1979. Une occasion, un cadeau, donc des disques (toujours, à cette époque, toujours !) Je vois pas souvent mon géniteur,...
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Imaginez un univers sans Internet, sans communication, imaginez un univers ou il y avait 3 – 4 radios en tout, qui après avoir passé claude françois, hésitez entre Sardou et Antoine (celui qui a une mauvaise vue). Imaginez un gars de 14 ans dont les feuilles de chou sont totalement vierges. On ne l’avait pas prévenu que cette cassette avec 4 lettres magiques était dangereuse.
On appui sur play.
10 morceaux, le premier (highway to hell) est un uppercut au foie qui vous met groggy direct et qui ne présage rien de bon pour la suite, effectivement walk over you vous colle au mur, touch to much est un millier de petites baffes dans la tronche, une droite avec beating around bush et que dire de shot down in flamme qui vous tabasse comme jamais, et on continue avec get it hot. Vous comptiez respirer à ce moment là, mais if you want blood ….. yes I get it !!!!!!
Maintenant que vous êtes à la ramasse, un peu de calme avec love hungry man et night prowler qui vous laisse seul dans le fond d’une ruelle sombre totalement abasourdi !!!!!!!!
2 jours après, j’étais un des premiers à mettre AC/DC sur mon sac US (oué j’etais super à la mode). Mais p’tin quelle pieds et chaque ré écoute me fait encore redevenir ado
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Créée
le 8 déc. 2017
Critique lue 203 fois
le 19 janv. 2012
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le 17 mai 2019
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