le 3 avr. 2021
2015, Une fin en apothéose
Il est normal que "King Push - Darkest Before The Dawn: The Prelude" soit sorti à la fin 2015. Avec une armée des plus grands et des plus brillants noms du hip-hop réunis pour écrire, produire et...
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Dans l’ombre de Kendrick Lamar, qui grâce à To Pimp A Butterfly, a mis à genoux la critique et plié le rap game US en 2015, les autres rappeurs continuent de se bouger et tentent encore de se faire une place au soleil pour peu qu’il en reste une. Parmi eux, on retrouve Pusha T qui revient avec Darkest Before Dawn en prélude à la sortie de King Push, prévu au mois d’avril. L’occasion pour les intéressés de découvrir si le poulain de Yeezy a décidé de livrer une galette semblable à My Name Is My Name ou de nous proposer quelque chose de nouveau (et de mieux !) en attendant l’arrivée de son troisième rejeton.
Dès la première écoute, c’est un soulagement : le emcee de Virginie nous livre un album bien plus convaincant que le premier. Au niveau des productions tout d’abord, globalement bien meilleures que sur MNIMN. Hasard ou non, Kanye West est beaucoup moins derrière les manettes sur cet exercice et l’on se prendrait à penser que cela fait du bien à son protégé, qui a su s’entourer des bonnes personnes pour produire un son sur lequel il se sent plus à l’aise. Mention spéciale à Crutches, Crosses, Caskets et Got Em Covered (coucou Timbaland !), deux tracks au style bien pété, minimaliste et sombre que l’on appréciait déjà sur les excellents Numbers On The Board et Lunch Money et qui lui sied décidément bien. C’est également un Pusha T plus rageur, plus conquérant que l’on retrouve sur cet album, ce qui tend à confirmer les espoirs placés en lui.
Reste à savoir maintenant si ce Darkest Before Dawn annonce quelque chose de plus grand pour 2016, car s’il est meilleur que son prédécesseur et peut être qualifié de « bon disque », Pusha T , malgré un talent que l’on sait énorme, doit encore monter les dernières marches pour accéder au trône. Un trône sur lequel Kendrick Lamar a bien posé son boule l’année dernière et compte bien y rester.
Créée
le 12 janv. 2016
Critique lue 261 fois
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