le 9 nov. 2018
Demy Dandy
Katerine est un cinéphile. N'ayant jamais caché son admiration pour Jacques Demy (allant même jusqu'à prendre son nom d'artiste en hommage à Catherine Deneuve, ou simplement à sa cousine) il avait...
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Ou le retour - avec une vengeance - de la Variété française la plus ridiculement datée, mais aussi la plus suave : disons celle de Michel Legrand enchantée chez Demy... Mais la nostalgie un rien perverse de cette époque pastel est littéralement emportée par une éblouissante cruauté, et la maîtrise très précieuse du phrasé fait de cette expérience l'une des plus troublantes : toute froufroutante et pourtant toute en non-dits, abordant crûment les coins obscurs de nos sentiments comme de notre sexualité. On peut s'en tirer en parlant de second degré, mais c'est bien l'âme brouillée que l'on termine cette promenade faussement légère. [Critique écrite en 1996]
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Mes 10 albums préférés de 1996 et Liste chronologique des concerts auxquels j'ai assisté [en construction permanente]
Créée
le 24 juil. 2014
Critique lue 377 fois
le 9 nov. 2018
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