The Apostasy par Marc Poteaux
De plus en plus death, Behemoth poursuit son chemin jonché de cadavres avec un "The Apostasy" plus violent encore que ne pouvait l'être "Demigod", et encore une fois un peu plus brutal death. C'est donc un Behemoth plus cru qui est à l'oeuvre ici. Du moins jusqu'à "Inner Sanctum", titre extrêmement puissant et en même temps très original, à la fois violent, ambiancé, technique et malsain. Exception qui confirme la règle, car dès ce titre passé, on replonge dans l'hyper-violence caractéristique de l'œuvre des polonais. Rien à jeter ici, même si on regrettera le côté "occulte" du précédent, qui apportait une valeur ajoutée certaine à un genre sans concession tel que le pratiquent nombre de formations à travers le monde, encore et encore. Pas avec la même rigueur ni la même efficacité, d'accord d'accord...