Il était une fois la mort
Hardy poursuit son évolution graphique. Evolution qui ne m'enchante guerre. Les traits sont toujours plus ronds. La mort ne fait même plus peur. Pour preuve, il suffit de regarder le poignet droit de Tombal sur la couverture. C'est trop souple, ça manque de cassure. Les courbes, c'est trop doux, trop gentil. C'est bon quand l'auteur dessine des lolos.
Heureusement il reste toujours de beaux décors expressionnistes et de bons cadrages. C'est déjà ça. Car les histoires m'ont aussi déçu un petit peu. S'il reste quelques bons gags, certains sont juste mauvais. Au point de n'avoir pas envie de sourire !
Globalement l'album n'est pas mauvais, mais est clairement en dessous de tous les autres.