Archétype classique des BD Astérix : un étranger vient demander de l’aide au village, ce qui oblige les deux héros à visiter un pays random — ici le Portugal —, à s’amuser des stéréotypes, à résoudre le problème à coups de baffes, puis à rentrer au village pour le banquet.
Ici, le récit est ultra générique : la cause du départ est expédiée, les blagues tombent à plat, la résolution est claquée au sol et, pour le reste, c’est du remplissage à base de clichés sur les Portugais et de bagarres contre des Romains.
Ça aurait pu être généré par une IA tant l’histoire est formatée. Je ne vois même pas la touche de Fabcaro là-dedans, peut-être dans le couple de Gaulois chauvins avec qui les héros sympathisent ?
Au moins dans L’Iris blanc, il tentait un truc.
Encore une belle plus-value financière pour l’auteur, mais le lecteur reste sur sa faim…
Inutile et oubliable.