le 20 juin 2019
Aussi bon que son prédécesseur !
Etant un très grand fan de l'univers Naruto, je me devais de lire le Manga Boruto. Au début, en lisant les deux premiers tomes, j'ai lu le film Boruto... j'étais pas très emballé mais ça m'a quand...
Ceux qui ont lu, ceux qui savent ce qu’est Boruto, vous les reconnaissez aux cernes noires sous leurs yeux. Ils ont le regard perdu droit devant eux et dedans, il ne s’y reflète plus rien, voilé par une horreur indicible qui les habite à chaque seconde de leur existence. Ils tirent souvent sur une cigarette, peut-être par pulsion de mort, pour en finir plus vite, mais lentement, afin d’expier dans la douleur d’avoir été témoins de l’innommable. Lorsqu’à ceux-là, vous allez leur dire que vous vous en allez lire Boruto, ils se crispent et, si vous leur demandez un commentaire, ils vous diront, les lèvres balbutiantes :
« Au moins… c’est… c’est pas Dragon Ball Super »
Car à moins de relativiser la lecture qui vient par les procédés les plus spécieux, jamais vous ne pourrez expliquer le bilan de Boruto. Par sans avoir à vous embarrasser d’une série d’injures corrosives en garniture en tout cas.
Imaginez donc, ou souvenez-vous, si vous l’osez ; Naruto fut un manga grandiose qui, au tiers de son parcours – l’ellipse étant l’épreuve de force tragique du Shônen – se sera avili lentement, puis de plus en plus vite, jusqu’à ce qu’il ne subsista pas même un souvenir de ce qu’il fut. Représentez-vous un homme digne qui, d’abord semoncé et secoué, reçoit une bastonnade à chaque instant plus violente, jusqu’à ce qu’on usa du couteau pour le poinçonner en mille endroits peut-être, avant de lui passer dessus au rouleau compresseur, dissoudre ses bribes dans l’acide sulfurique et recourir à l’option nucléaire tactique sur ce qui fut le site de son trépas.
Peut-être était-ce assez et que nul ne fut besoin d'en rajouter.
Pour les lecteurs des premières heures, c’était même de trop. Je crois avoir – sincèrement – poussé un soupir de soulagement lorsque Naruto connut un terme dans son ultime disgrâce, car je savais au moins qu’il finirait de souffrir et de se déshonorer davantage.
Et voilà que la Shueisha arrive la bouche en cœur, les poches jamais assez pleines, pour nous annoncer qu’ils allaient s’adonner à une nécromancie de bon aloi. L’idée – ils appellent ça comme ça – leur apparaissait salutaire. Il y avait, dans leur démarche, quelque chose d’aussi puant et cruel que ce que faisaient les rouges espagnols durant la guerre civile de 1936, lorsque ceux-ci exhumaient les cadavres afin de les profaner en leur tirant dessus pour les abattre symboliquement une deuxième fois. Quand l’infamie des rampants ne connaît aucune borne, il n’y a pas de répit même dans la mort.
Néanmoins, je me permettrai un court instant d’accalmie au milieu de l’orage que je viens vous prodiguer. Si je vomis qu’on profane une œuvre déjà bien malmenée de son vivant, je dois admettre que contrairement à ce qui fut entrepris pour Dragon Ball Super, un semblant d’effort, ou du moins de bon sens, a semble-t-il cette fois parcouru le cervelet de la Shueisha. Boruto est le travail de deux auteurs, Mikio Ikemoto et Ukyo Kodachi ; le premier ayant eu le bon sens d’être assistant en chef de Kishimoto et le second un dessinateur impliqué dans les films Naruto. Si la nécromancie qui s’annonce promet d’être bien triste et imprégnée de relents infects, le corps dans lequel on fera mine d’y greffer une âme ressemblera pas mal à ce que fut le cadavre de son vivant.
Les dessins ressemblent effectivement à ceux de Kishimoto durant sa période de fin de production. Lissés, épurés, sans caractère et froids au point d’en être même glaciaux ; néanmoins typiques de ce qui fut son trait lorsqu’il prit sa retraite.
Un effort fut commis sur ce point, il convient de le reconnaître et d’en attester. Ceci étant fait, enterrons à présent Boruto si profondément qu’on fera passer le goût du sacrilège à quiconque se sentirait l’âme impie.
Ça commence bien mal. Un « Flache Forouarde » nous présente Boruto en mode Edgy no Jutsu, avec option Nukenin et œil crevé – parce que c’est cool d’être borgne – s’adonner à un combat dont on se doit de supposer qu’il est anthologique, avant d’en retourner à sa plus prime jeunesse. Soucieux d’innover, comme greffant des tumeurs sur le cadavre qu’ils profanent pour le plaisir de ce faire, les mercenaires à crayons nous introduisent une nouvelle technologie. Figurez-vous que la miniaturisation ne concerne plus seulement les circuits imprimés, puisque les jutsus sont apparemment concernés. Avec ces mini-jutsus – j’en reviens pas que j’en sois à écrire ceci – chargés dans un dispositif semblable à un canon équipé à son bras, il est à présent possible pour chacun d’utiliser les Jutsus propres à certains clans. Ah oui ; plus besoin de chakra, le Rasengan peut-être utilisé comme un projectile par le premier venu.
Débuter l’outrage fait à Naruto par un viol inaugural, voilà une initiative osée et pleine d’allant. Le flanc est déjà prêté à tous les dérives avec cette seule incursion technologique dans le récit. Plutôt que de développer et approfondir le système des Jutsus, des modalités de leur apprentissage, revenir à zéro en exploitant certaines facettes peu esquissées du spectre des pouvoirs… voilà qu’on balance la baguette magique capable de tirer du Foutaise no Jutsu par salves entières et sans avoir à écraser une suée. Jetez un œil à n’importe quel forum RP Naruto et vous verrez ce que de l’imagination, rien qu’avec les données du manga, peut accomplir de novateur.
Et les profanateurs, grimés en auteurs, ne voient pas en quoi leur « invention » va drastiquement foutre en l’air la notion de rapport de force dans un manga qui a pris quelques dizaines de tomes à l’échafauder. « Cool, un nouveau gadget » se seraient-ils sans doute écriés la première fois qu’on leur eut jeté un mousquet entre les mains.
Vous vous souvenez du contexte initialement travaillé par Kishimoto ? Faut creuser loin, avant qu’il ne s’employa à tout faire s’effondrer. Vous savez, cet habile mélange qu’il avait trouvé entre une forme d’archaïsme culturel japonais et une relative avance technologique, mêlant l’ancien et le moderne dans un ballet gracieux ?
Il n’en reste rien, pas même des résidus incrustés. Le tome final de Naruto, avec ses gratte-ciel sur la montagne où sont sculptés les visages des Hokage – présage funeste – a annihilé tout ce qui aurait pu faire Naruto, au moins pour ce qui tenait à ses oripeaux. Voir les habitants de Konoha bidouiller une tablette numérique dans ce qui ressemble à un Diner américain, paraphe et officialise mieux la disgrâce que si Kishimoto l’avait publiquement reconnu dans une lettre d’excuse. Parce qu’il y a pour lui, dans la moindre page, une pléiade de prétextes à la contrition pour avoir osé nous exhiber cette constante humiliation de son œuvre.
Les personnages ne valent pas une ligne de description pour les qualifier, car eux-mêmes sont dépourvus de cette même ligne pour seulement les constituer. En ce sens, les auteurs auront su rester fidèles au travail de Kishimoto sur la fin de son périple, s’étant allègrement torché avec son spectaculaire travail de jadis, lorsqu’il développa méticuleusement ses personnages secondaires afin qu’ils eurent chacun un rôle et un intérêt. En somme, les descendants des personnages de Naruto sont simplement leurs clones générés sans chakra et sans personnalité.
Je ne vais pas vous faire l’offense de vous demander sans cesse « vous souvenez-vous, durant les vingt-six premier tomes de Naruto quand... », car chacun ici aura d’ores et déjà fait le deuil d’un potentiel renouveau de l’œuvre. Ça se serait su, je crois, si Boruto avait bougé les murs plutôt que de les couvrir de merde en faisant mine de les avoir repeints.
Le fait est que tout est à jeter, mais de ça on ne s’en surprendra guère. Les affrontements, dont la mise en scène et l’orchestration sont dépourvues de la moindre idée ou même d’un soupçon d’intensité ne nous encouragerons que mieux à feuilleter les pages sans même les regarder d’ici à ce que survienne une bulle de dialogue. Mais à quoi bon la lire cette bulle ? Ils n’ont rien à dire ces gens-là, la narration étant de toute manière bancale et chroniquée de la bouche d’un bègue attardé. Nonobstant le scénario, aussi convenu que malvenu, le récit est très désagréable à lire, Boruto étant conté sans une vision pour guider le parcours de notre lecture.
Oh oui, au fait, tant qu’à faire, Boruto est un génie. Il apprend le Rasengan en douze heures. Voilà.
Vous vous souvenez de….
Promis, j’arrête.
Le mérite, le travail, les efforts ? Mais tout ça, on s’en branle ma brave dame. T’es l’élu du scénar’ ou t’es figurant, que ça plaise ou pas, c’est comme ça que ça marche. Certes, ça marche en claudiquant, même que ça rampe bien assez tôt, mais ça se fera pas autrement. Si vous aviez encore des espérances avant de vous essayer à Boruto – prouvant par là même que vous êtes très cons ou bien mal renseignés – je vous aviserai de bien vouloir vous les administrer en suppositoire. Format dix litres par gélule.
Vous vous souv… ah oui, pardon. C’est difficile de ne pas en appeler au bon souvenir des lecteurs de jadis en ce sens où tout nous ramène à Naruto pour saloper le travail d’alors. Nous voilà très rapidement embarqués sur les rails de l’examen Chuunin. Arc haletant et palpitant s’il en était.
Brossez-vous mes bons sires, et frottez bien fort ; car ce sera une catastrophe. Les épreuves sont ridicules et traitées par-dessus la jambe au point d’en être légères et bon enfant. On les jurerait inspirées par un auteur de fan-fiction ayant récemment redoublé sa sixième. L’imagination est une denrée tarie dans le bureau des auteurs, alors on fait avec ce qu’on peut ; à savoir du néant conceptuel intégral dispensé par pleines pages. Le sens de l’astuce, la réflexion, les stratégies de combats… non. Arrêtez, je vous prie, d’avoir de l’espoir, c’en est indécent si on tient compte de ce que vous lisez. Ou plutôt de ce que je lis pour vous, afin que vous n’ayez pas à vous ternir l’âme et l’esprit.
Pas un souffle d’énergie ou de tension n’émane des pages ; la narration est loupée au point de vous faire passer un événement marquant comme moins qu’anecdotique. Il faut quand même sincèrement ne pas croire à ce qu’on écrit et ce qu’on dessine pour en laisser jaillir une telle absence de passion ou de ferveur artistique.
Et lorsque je vous disais que Boruto était l’élu, c’est à un point où même l’indécence serait gênée de lire ce qui se profile ici. Rappelons que Boruto est un Genin, c’est-à-dire l’échelon le plus bas chez les shinobis. Après que papa se soit fait aspirer par un Genki Dama ésotérique – oui – les Kages de tous les villages cachés, dont le personnel est sans doute en vacances d’été pour qu’ils prennent la peine de se mobiliser en personne, convient Boruto à venir avec eux en mission alors que ce dernier n’a rien accompli d’exceptionnel ou même de vaguement notoire. Le scénario ne cherche même pas à être crédible alors que le personnage principal est déjà plus estimé que le Christ ressuscité à compter du sixième chapitre. Au neuvième chapitre, je ne plaisante pas, ce même Boruto parvient à annihiler un antagoniste que même quatre Kage réunis n’arrivaient pas à vaincre. Situez le niveau d’écriture pour en arriver là, envisagez-le seulement. Vous n’y parvenez pas ? C’est normal, l’esprit humain n’est en principe pas calibré pour se déprécier à ce niveau. Il faut être un auteur de Shônen formaté à la daube environnante pour se conditionner à ce niveau de rédaction. Ça demande de l’entraînement d’être mauvais, il suffit pour cela de s’inspirer du pire et de l’ériger comme seule norme culturelle acceptable.
Après ça, un arc remplissage. Oui, oui. Normalement, ce menu privilège est réservé à l’animation, et encore, plus de nos jours, mais les auteurs son si mal inspirés qu’ils nous en gratifient d’un dans l’œuvre originale. Quoi qu’il en soit, je crois, très abusif d’associer Boruto au principe de l’originalité.
Parce que la déconnade ne s’arrête jamais. Le lance-jutsu, c’était rien qu’un échauffement, voilà qu’arrivent les sabres-laser. Je ne plaisante pas.. Le laser sera puisé dans le chakra, ce qui change tout, vous en conviendrez, mais le principe sera le même. Trop loin elle vous part, l'impéritie ? On débute à peine la grande marche de la perdition mes enfants, faut pas perdre haleine maintenant, car voilà que vient… la gatling à Jutsus ! Même la science-fiction ne sera pas allée aussi loin dans la démesure technologique. Ce supplice sera cependant notre lot à tous si vous nous égarons sur les pages d’un Boruto.
Ao sera un antagoniste… parce que. Un peu comme le docteur Wu qui, de Jurassic Park à Jurassic Word, se pique de desseins maléfiques pour sustenter aux caprices d’une intrigue erratique et irraisonnée. On fait les choses parce que, voilà pour la doctrine ambiante ; voilà comment les auteurs conçoivent leur Nindô.
Boruto n’est pas une suite ou même une série dérivée de Naruto, c’est un recueil à foutaises, une encyclopédie intarissable de tout ce qu’il ne faut pas faire si l’on souhaite faire honneur à une œuvre dont on s’inspire. Sans le savoir, et c’est encore ça le plus fascinant, Boruto est une parodie qui s’ignore. Une qui vous ne arrachera que des rires amers et désespérés.
Les méchants du Kara dissimulent leur apparence derrière un masque, donc pour se dissimuler, mais se présentent en grande pompe sous leur nom propre. Rien que ça est hilarant tant c’est si stupidement écrit.
Les rapports de force, déjà malmenés et dépourvus de sens et de logique à la fin de Naruto, sont ici indescriptibles car ne répondant à aucun canon convenablement institué. Les déferlantes de démesure et autres inepties technologiques sont si légion qu’on ne sait plus ce qui est censé être imposant ou insignifiant. Jamais un sentiment de menace pour les protagonistes, dont on se fout déjà ostensiblement, ne nous égratigne seulement l’échine dès lors où un adversaire présumé puissant s’en prend à eux. La scénographie est elle aussi carencée à ce point là.
Que Boruto continue d’être vendu m’échappe. Je ne connais honnêtement personne qui le lit, et pourtant, la publication persiste. Peut-être est-ce par culpabilité que mes contemporains ne souhaitent pas trop faire étalage de cette immondice dans leur bibliothèque. J’ai connu ça assez souvent. Lorsque vous demandiez en 2018 puis en 2023 qui, en France, avait voté Macron, vous ne trouviez pas une seule âme où que ce soit lui ayant un jour prêté son suffrage. Y’a des mystères, comme ça. Des hontes qui ne s’assument pas.
Kawaki, notre rival de service, à qui il ne manque que la Harley – au point où on en est niveau technologie – pour appuyer à quel point c’est un dur, nous vient comme une fiente de pigeon sur un pare-brise. Mais point d’essuie-glace ne sera en question pour nous soulager de sa présence, dont on devine qu’elle sera exagérée et fastidieuse à supporter.
Des chapitres entiers seront des itérations de celui l’ayant précédé. Rendez-vous compte qu’avec un rythme de parution mensuel, Boruto pourrait se payer le culot de faire avancer conséquemment sa trame à chaque publication… et fait en plus du surplace. Non seulement les auteurs ne savent pas écrire une histoire, mais ils lambinent à nous la raconter, à sans cesse tergiverser et faire traîner une intrigue faite de vide concentré. Tout indique que Boruto n’est écrit que pour capitaliser sur le nom Kishimoto, car pas une idée ou même un ersatz d’engouement n’est là pour au moins nous prouver le contraire.
Tout n’est bientôt plus que bastons sourdes à nous faire regretter d’être aveugles pour ne pas avoir à se l’infliger. Et c’est tant mieux, à dire vrai. Car durant ce temps-là, les bulles de dialogue sont moins fréquentes et la lecture en est accélérée en conséquence. Plus besoin de s’arrêter sur des phrases creuses, des aphorismes pauvres et des jérémiades adolescentes pour faire semblant de nous mimer une histoire. On sait ce qui est ; on a lu, vous avez pas d’idées, alors quitte à tirer du fric sur le nom seul de Kishimoto, autant nous rendre des copies blanches signées de son nom, ça ira plus vite pour tout le monde et ce sera peut-être même plus éthique dans le principe. Car de principe, la Shueisha n’en a apparemment plus aucun, j’en prends note à chaque nouvelle page que j’effeuille le nez retroussé.
Pour seul point de bascule de l’œuvre, qui n’aura pas beaucoup chancelé de ce coup mollasson, la mort de Naruto – dont on se doute qu’elle n’est pas définitive – et un jutsu, ou devrait-on dire de la magie à ce stade, inversant le rôle de Naruto et Kawaki dans la mémoire de tout le monde. Tout cela est bien fastidieux pour finalement accomplir bien peu de choses sur le papier. D’autant que Bleach l’a déjà fait avec l’arc des Fullbringers.
Ah, une ellipse. Ne tremblez pas, il n’y a rien à sauver, aussi les auteurs auront beau s’appliquer à se saborder sans cesse davantage, on ne peut pas piller un trésor vide, même en grattant désespérément le fond du coffre. Quand on manque d’idée, l’ellipse providentielle de plusieurs années, c’est quand même la solution de feignasse par excellence. Certains, remarquez, on sut en tirer le meilleur parti. Faut bien une exception à la règle.
On parle d’une ellipse pour rien dans le cas qui nous concerne, car le problème de la mémoire altérée ne se posera bientôt plus. Rien qu’un peu de blabla no jutsu ne pouvait résoudre.
Enfin, on change même le titre de l’œuvre en pensant faire peau neuve. Un peu comme l’UMP se sera fait appeler Les Républicains. Vous aurez beau réécrire la devanture, on sait bien ce qu’on tambouille en cuisine ; un étron ne gagne pas en saveur sous prétexte qu’on la rebaptise « sucre glace ». Et puis « Blue Vortex », vous m’excuserez, c’est clairement le nom qu’on donne à une marque d’aspirateurs. Celui-ci n’aspirera guère que votre temps, votre santé mentale et peut-être, pour les plus candides d’entre vous, vos illusions.
Quand je pense que ça se poursuit encore… Tant qu’il s’en trouvera la bouche ouverte au bout de l’usine à merde, celle-ci, jamais, ne chômera.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste [Mangas] Ces Shônens-concon à vous dégoûter du genre
Créée
il y a 5 heures
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le 20 juin 2019
Etant un très grand fan de l'univers Naruto, je me devais de lire le Manga Boruto. Au début, en lisant les deux premiers tomes, j'ai lu le film Boruto... j'étais pas très emballé mais ça m'a quand...
le 10 févr. 2024
Quelqu'un a dit "intéressant"? Non? Je me disais, aussi...Le concept de next generation, par essence, est de profiter d'une série populaire, pour faire une suite qui aura perdu les idées et le charme...
le 8 mars 2017
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