Dans un univers ou humains, cyborgs et intelligences artificielles vivent ensemble, la section 9, une section d’élite anticriminelle s’occupe de faire respecter la loi.
“Ghost in the Shell“ est une série de mangas de Masamune Shirow publiés dans le “Young Magazine“ en 1989. Ces mangas sont devenus si connus qu’ils ont été adaptés en films d’animation, en jeux vidéo et même en un film en prise de vue réelle.
Motoko Kusanagi, aussi appelée Major, une cyborg de la section 9 et ses compagnons arrêtent et abattent toute sortes de criminels à leurs façon, très efficace même si des fois aux limites de la loi. Lors de leurs missions ils découvrent l’existence d’une entité qui se fera appeler le marionnettiste, un cybercriminel qui prend le contrôle du Ghost des citoyens à travers le réseau numérique mondial (le futur internet). En continuant l’enquête sur celui-ci, ils découvrent bien plus qu’ils ne l’espéraient...
Alors que j’ai eu beaucoup de peine à me plonger dans le manga du aux mots inconnu de ce monde futuriste, au sur flux d’information et à la suite de petite histoires sans lien apparent. Dès que l’intrigue est arrivée à son but je suis totalement entré dans l’histoire. Le style des dessins très représentatif des mangas de cette époque reste tout de même très distinct dans son genre. Les questions soulevées lors de cette histoire sont beaucoup posées dans les intrigues de cyberpunk, genre dont il fait partie, mais reste tout de même intéressant à se poser. Par exemple la question principale imposée tout au long des mangas est : Qu’est ce qu’être humain ? Même si pour nous en ce moment la réponse est évidente dans ce monde ou les robots on des manières de penser très développées la question se complique.
Pour finir je dois dire que “Ghost in the Shell“, même si déjà très intéressant simplement ainsi, aurait la possibilité d’être bien meilleur si le monde où ça se déroule était plus approfondi
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Lamastone