Super mais...

Par exemple, il semble difficilement concevable qu’un homme coupe la langue de sa femme indienne par peur qu’elle parle. C’est un acte de barbarie ignoble qui semble être à l’opposé de l’amour que porte ce homme, certes blanc, pour sa femme.

l’héroïne indienne cache son visage avec un foulard car son nez fut amputé suite à une tromperie. Il parait assez inconcevable d’abandonner son enfant pour cette raison... Au mieux, elle se serait enfuit avec lui.

Encore un exemple des plus incongrus, nos héros accueillent un vieil homme Irlandais à venir manger avec eux un Irish stew ainsi qu’à dormir sur leur camp auprès du feu. Le lendemain, notre petit héros trouve sa nouvelle figure maternelle morte.

La raison parait peu crédible et pourtant c’est celle-ci: le vieil Irlandais souhaitait lui faire un câlin (et plus si affinité) or l’heroine ne voulait pas. S’en est suivit un meurtre à coup de pierre sur le crane, le tout sans réveiller nos héros pourtant juste à coté. Même en omettant le fait que d’un point de vue pratique ça ne soit pas possible, l’auteur nous explique que l’hermite Irlandais n’a pas pu resister à ses pulsions animales, lui qui nous a été présenté comme extrêmement gentil, lui qui a un certain age, un age où les pulsions sexuelles se sont fait une raison, les hormones ayant moins d’emprise sur la raison. De plus nos héros retrouve facilement le vieux, qui attendait simplement de se faire tuer…

Après un flashforward de six ans, on découvre notre jeune héros grandit, presque adulte, désormais instruit dans le domaine de la médecine car pris sous l’aile d’un médecin.

Pourquoi alors flinguer le barman, anciennement tueur à gages qui mit des batons dans les roues à nos héros? Est-ce pour nous dire qu’un indien restera toujours un sauvage auprès des européens-américains?