Les cases sont lourdes et humides, et Marilyn Monroe qui swing dans l'usine et qui partage l'intimité de deux enfants japonais qui s'aiment. Binôme scanné par l'ordinateur étincelant qui n'est pas encore un cadavre robuste abandonné parmi les déchets.

VictorHamonic
7
Écrit par

Créée

le 21 août 2020

Critique lue 57 fois

Lazuli xoxo

Écrit par

Critique lue 57 fois

D'autres avis sur Je suis Shingo, tome 1

Je suis Shingo, tome 1

Je suis Shingo, tome 1

le 18 juil. 2017

Critique de Je suis Shingo, tome 1 par Nébal

UMEZU Kazuo, Je suis Shingo, vol. 1, [わたしは真悟, Watashi wa Shingo, vol. 1], traduit du japonais par Miyako Slocombe, Poitiers, Le Lézard Noir, [1982, 1996] 2017, 406 p. PAS SEULEMENT DE...

Je suis Shingo, tome 1

Je suis Shingo, tome 1

le 12 févr. 2021

Horreur? Romantique?

Je ne comprend pas bien son succès, il m'a été conseillé comme un manga d'horreur, où est l'horreur? Elle vient peut-être par la suite... Pour ma part, je l'ai trouvé plutôt long et ennuyeux. Un...

Je suis Shingo, tome 1

Je suis Shingo, tome 1

le 21 août 2020

Misfits

Les cases sont lourdes et humides, et Marilyn Monroe qui swing dans l'usine et qui partage l'intimité de deux enfants japonais qui s'aiment. Binôme scanné par l'ordinateur étincelant qui n'est pas...

Du même critique

Comme un cheval fou

Comme un cheval fou

le 25 nov. 2020

Transformer son frère en cheval sauvage

Un faux-cil collé sur un morceau de béton après une soirée, et Goblin et Dong et sa copine qui discutent sur le trottoir. Iels parlent de sexe, qu'elle n'a jamais eu d'orgasme et Dong ivre explique...

Le Kimono rouge, tome 1

Le Kimono rouge, tome 1

le 14 févr. 2021

The god damn trait du gars

Ouais alors bon l'édition est pas ouf, les onomatopées originales remplacées par des françaises c'est chaud quand même. Ayant ça en tête, je ne sais pas si il y a des soucis de traductions ou si le...

Au revoir l'été

Au revoir l'été

le 20 nov. 2020

Retourner dans tes étés pour prendre des mains et faire des bisous

Alala y sont trop mignons les adolescents là, déjà les intertitres qui m'envoient des vibes d'Ozu dans la tronche c'est comme recevoir du gros amour direct dans le ventre. Et puis l'été infini...