le 12 févr. 2017
Sur scène, jusqu’au bout
Le féminisme en biopic, c’est décidément la mode. Que ce soit au cinéma (« Jackie » de Pablo Larraín) ou en bande dessinée (Pénélope Bagieu avec « California Dreamin’ » et sa série « Culottées ») il...
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C'est bien la première fois de ma vie que je pleure à la fin d'une BD, mais ce n'est pas triste au fond, au contraire, au moment final on revoit défiler tous les fragments de cette vie héroïque et c'est vraiment fort! On ne peut qu'avoir de l'admiration pour Baker, mais aussi pour le travail de recherche qui a été mené pour réaliser ce roman graphique qui en plus d'être magnifique au dessin est aussi d'une richesse historique incroyable. On regrettera peut-être un passage, celui de la 2ième guerre mondiale où des épisodes se suivent et se ressemblent, cassant un peu l’homogénéité qui était là avant. Mais globalement malgré ce petit passage à vide le reste tellement beau, riche et fascinant - sitôt terminé on a envie de recommencer.
Créée
le 9 oct. 2019
Critique lue 145 fois
le 12 févr. 2017
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