Des titans menacent l’humanité : Des êtres à forme humaine mais de tailles variables, les plus grands pouvant atteindre plusieurs mètres de haut, errent sur un territoire. Ils ne parlent pas, mais leurs visages montrent une expression presque joyeuse. Ils ne se nourrissent pas et sont immortels. Leurs blessures guérissent aussitôt et leurs membres amputés repoussent. Le seul moyen de les tuer est de leur trancher la nuque. Ils sont animés d’une pulsion : dévorer des humains.

Une population humaine vit paisiblement derrière de hautes murailles qui cernent leur ville et les protègent des titans. Un matin, un titan d’une stature colossale surgit. A coups de pieds, il ouvre une brèche où les titans s’engouffrent. Les humains, paniqués, tentent de fuir mais nombre d’entre eux sont attrapés et cruellement dévorés. Ainsi commence L’attaque des titans.

Une œuvre complexe : Hajime Isayama nous livre un récit complexe, peuplé de nombreux personnages, où l’intrigue s’intensifie graduellement sans se révéler. Jusqu’au bout, on ignore quelle sera l’issue de ces affrontements entre les humains et les titans. Le scénario allie avec aisance le point de vue individuel de chacun des protagonistes, et la vue d’ensemble sur la collectivité, représentée par la société toute entière, ou par des groupes humains qui la composent, telles les unités d’exploration, chargées de lutter au corps-à-corps avec les titans pour les éradiquer. Il y a dans l’œuvre d’Isayama une densité descriptive et narrative. L’auteur aborde de nombreuses questions fondamentales sur l’humanité, la société et la guerre, d’ordre philosophique ou éthique, ce qui ouvre la lecture à une multiplicité d’interprétations. La richesse est telle que chacun pourra y tisser le fil d’un questionnement qui l’occupe. Tant par sa cohérence profonde que par l'intensité de son propos, L’attaque des titans est une oeuvre magistrale.

Un récit maîtrisé : La relecture est plus prenante encore que la première découverte du manga. On réalise combien les dialogues sont prémonitoires ce qui révèle, de la part de l’auteur, une grande maîtrise du récit et de son évolution, dès le début de l’œuvre.

Le crime et le sens du crime : On ne sait d’abord pas à quel personnage s’attacher car on comprend très tôt que certains d’entre eux vont mourir, et l’auteur nous réserve la surprise. Mais quelque chose de plus insidieux déroute. C’est le fait qu’Isayama ne juge pas. Ses personnages, les enfants, les femmes et les hommes, sont dessinés avec bienveillance. Ils ne sont ni bons, ni mauvais, seulement eux-mêmes. Nous les suivons dans leur parcours, ce qui nous relie à eux, quand bien même certains commettent des actes odieux. Ce nivellement des protagonistes au même rang de dignité, contraste avec leurs crimes, ce qui est déconcertant. Même les titans ne peuvent être haïs. Ils croquent des gens vivants et c'est épouvantable, mais leurs yeux souriants nous empêchent de les regarder simplement comme des monstres. Pire, ils sont mus par un destin qu’ils ne peuvent dépasser. Leur mutisme les rend incapables d’exprimer leur souffrance. A certains stades du récit, nous sommes très près de les considérer comme des victimes à sauver !

Si nous savons où sont le bien et le mal, nous ignorons qui est coupable des atrocités dont la plupart peuvent être qualifiés de crimes de guerre ou de crimes contre l’humanité. Ce flou sur les responsabilités est l’esprit de l’œuvre. Sur cette indistinction, Isayama a créé ses personnages dont la destinée, tout au long du scénario, oscille entre l’acte et sa justification, entre le crime et son sens. L’objet de l’œuvre à mon avis, est le questionnement sur notre incapacité à fixer la responsabilité. La responsabilité est désignée subjectivement par celle ou celui qui possède le pouvoir d’accuser, et les moyens de sanctionner. Elle ne découle pas de l’acte en soi. Cette idée est omniprésente mais elle est plus particulièrement concrétisée au cours d’une scène de procès, où se mêlent, dans l'esprit des juges, des croyances, de fausses vérités induites par des conflits d’intérêts et des rivalités politiques, ou encore une vision erronée de la réalité.

Une allégorie de la seconde guerre mondiale

L’attaque des titans est une allégorie de la seconde guerre mondiale, où les titans sont les bombes. Ils s’abattent sur la ville, éventrent les maisons et déchiquettent les corps. Parfois, ils tombent du ciel. Leur efficacité meurtrière est redoutable. Comme le point de vue de l’auteur est japonais, le récit nous conduit vers la menace de plus en plus pressante de l’éclatement de la bombe atomique.

L’attaque des titans n’est pas un récit sur la seconde guerre mondiale. L’auteur emprunte seulement quelques références facilement reconnaissables qu’il glisse dans un récit tout autre. Par exemple : une politique raciale discriminatoire fondée sur la propagande et les manipulations de l’histoire, un ghetto où est parquée une population honnie, ou une Gestapo qui pratique une purge politique en toute impunité. Certaines images sont aussi sans ambiguïté où l’on reconnaît le débarquement, Hitler discourant devant la foule, ou le champignon de fumée provoqué par l’explosion atomique. Mais il est impossible d’associer la ville du récit à l’un ou l’autre des belligérants de l’histoire car les repères géographiques sont brouillés. Sur un même territoire par exemple, on rencontre des références à l’Allemagne nazie, aux Etats-Unis (des personnages jouent au base-ball), ou à la Chine (un peuple haït un autre peuple pour les crimes commis par leurs ancêtres).

Le Grand Gourou et le déterminisme

L’œuvre est globalement déterministe. Les titans tout d’abord sont la figure même du déterminisme : ils sont privés de volonté propre et gouvernés par leurs instincts. La population humaine ensuite est sous le coup des propagandes ou des manipulations politiques. Elle peine à démêler le faux du vrai. La plupart des personnages se réfugient dans leurs obligations, notamment militaires, pour s’épargner d’affronter consciemment une réalité qui les dépasse. Les soldats exécutent les ordres et c’est leur façon de tenir leur rôle dans le monde. La société s’écoule ainsi vers un destin effrayant, la perspective de sa propre extermination, comme une fatalité que rien ne semble pouvoir déjouer.

Isayama donne de l’ampleur à plusieurs de ses personnages en relatant certains épisodes de leur enfance. L’un d’entre eux symbolise à mon avis cette idée du déterminisme qui nous gouverne. Nous l’appellerons le Grand Gourou.

Le Grand Gourou est déterminé par son enfance. Il grandit dans le ghetto. Ses parents sont des militants actifs d’un groupe de résistance clandestin. Son père décide qu’il sera l’infiltré du groupe dans l’armée officielle, et le garçon est enrôlé à l’âge de 6 ans. Le jour, il suit les entraînements et apprend de ses instructeurs tous les méfaits que ses ancêtres ont commis par le passé, et à quel point son peuple est mauvais. Le soir, son père lui enseigne en secret tout le bien que leurs ancêtres apportaient à l’humanité, et comment ils doivent être vénérés. Le jour, l’enfant doit veiller scrupuleusement à montrer son adhésion à la haine collective envers son peuple, afin de ne pas trahir sa famille. Le soir, il tente d’exprimer son désarroi mais son père le gronde et reprend aussitôt la leçon. L’enfant manque d’affection, de soutien, d’écoute et d’attention. Il a été propulsé dans des choix de vie qui ne sont pas les siens, et il est pris quotidiennement dans des conflits de loyauté inextricables. Sa trop jeune personnalité se fissure.

Il rencontre un homme proche de l’armée qui devient son mentor. Cet homme est bon pour lui, il l’écoute et l’accompagne dans cette période difficile de sa vie. Un jour, la famille est menacée d’arrestation et de déportation. Grâce à l’intervention de son mentor, l’enfant échappe à la rafle en trahissant ses parents. Ceux-ci disparaissent dans les mains de la police politique et l’enfant est pris en charge par ses grands-parents. Il a survécu, mais sa personnalité est brisée. Elle n’est plus qu’un immense sentiment de culpabilité, une souffrance béante, irréparable.

L’enfant poursuit ses entraînements comme soldat, et sa relation de soutien et d’amitié avec son mentor s’intensifie. Un jour qu’ils discutent ensemble de la situation politique, tout en jouant au base-ball, leur jeu préféré, le jeune adolescent formule une simple idée qui lui vient à l’esprit sur le moment : « et si notre peuple devenait stérile ? », et le mentor de répondre : « Mais oui ! Ce serait la solution ! ». A cet instant, l’adolescent devient le Grand Gourou. Il est validé par son mentor, et il se donne pour mission la poursuite de ce grand projet eugéniste. Sa culpabilité et son trauma sont refoulés sous le poids de sa Mission, dont la réalisation sera expiatoire de son passé.

Dans les années qui suivent, le Grand Gourou devient une personnalité importante au sein de l’armée. Il conserve son adhésion de façade à la propagande dominante et rassemble en secret un groupe de fanatiques qui le prennent pour leur Messie. La Mission fait figure d’évangile. En pleine bataille, on voit l’une des fidèles admirer les actions du Grand Gourou dans une extase mystique. Le Grand Gourou lui-même est porté par sa Mission. Il plonge en pleine dérive sectaire ou totalitaire. Il affirme poursuivre le bien de l’humanité et justifie par là ses passages à l’acte. Il participe ainsi à une expérience de gazage de la population d’un village « pour le bien de l’humanité ». Il fait distribuer à la population, par ses adeptes illuminés, une boisson empoisonnée. Au cours des batailles, Il décime les soldats de l’armée ennemie en manifestant de la joie. Il est dans l’accomplissement. Pour chaque soldat tombé il déclame l’avoir « libéré » de son malheur de devoir engendrer, et d’avoir ainsi « sauvé » ses hypothétiques futurs enfants des tourments de ce monde cruel. Sa mission est une projection de son propre drame, d’une enfance meurtrie, impossible à assumer, qui doit être effacée. L’enfance du Grand Gourou a produit un monstre, une machine à tuer, insensible aux autres, enfermé dans une folie destructrice qu’il croit visionnaire. Le Grand Gourou est déterminé par le drame de son enfance. Il n’existe pas en dehors de sa culpabilité et cette culpabilité détermine ses choix, qui font de lui un assassin.

Le Grand Sauveur et la liberté

Le Grand Sauveur est l’exact inverse du Grand Gourou. Il grandit dans une société paisible entouré d’une famille aimante. Son père dira qu’il lui a toujours laissé faire ce qu’il voulait. L’enfant construit, grâce au soutien et à l’affection de ses parents, les bases d’une solide personnalité. Il ne doute pas de lui-même, il se sent légitime. Un événement criminel se produit duquel un adulte serait sorti choqué, mais l’enfant qu’il est n’a pas perçu le danger, a agi, a vaincu, et le voilà solidifié dans sa propre confiance en soi. Vers l’âge de 10 ans, il assiste à la première attaque des titans. L’enfant perd sa mère de manière horrible et, peu après, son père. Malgré ce drame, qui est également un drame collectif, qu’il n’est pas seul à devoir affronter, l’enfant est déjà suffisamment construit au fond de lui pour surmonter et aller de l’avant. Il va devenir un adolescent en pleine conscience de soi, maître de son analyse dans différentes circonstances, relié à ceux de son groupe affectivement et socialement, à l’écoute d’autrui, et capable d’adaptation lors des multiples revirements de situation qu’il va traverser. Le Grand Sauveur est proche des membres de son unité, avec qui il a grandi, pour qui il ressent un attachement sincère, qui constituent en quelque sorte sa seconde famille.

Avec le Grand Sauveur, Isayama pose la question inverse de celle posée par le Grand Gourou qui est : Comment devient-on un monstre au nom de la liberté ?

Le Grand Sauveur, encore enfant, crie qu’il va éradiquer les titans jusqu’au dernier. Bien plus qu’un accès de colère, c’est le sens qu’il donne à sa vie, pour lui-même, pour l’aider à surmonter le trauma de la perte de ses parents. Il s’engage dans l’armée vers l’âge de 12 ans où il montre de bonnes capacités d’intégration, une propension à obéir aux ordres et à se conformer à la discipline. Il est fidèle à ses supérieurs et à son unité. Lors d’une enquête sur son intégrité, il déclare qu’il se soumettra à la décision du tribunal même si celle-ci devait être une condamnation à mort.

Le Grand Sauveur a un tempérament impulsif. Il est résolu et endurant. Il ignore le danger et se lance à corps perdu dans la bataille. Il voue une haine aux titans qu’il extériorise dans la rage. Il est lui-même un titan parfois, de sorte que cette haine le confronte à un sentiment paradoxal sur la légitimité de sa propre existence. Il y réfléchit longuement, et finit par prendre une grave décision, qu’il va ensuite tenter d’exécuter, en pleine possession de ses moyens, avec l’opiniâtreté et l’énergie qui le caractérisent.

Cette décision n’est ni plus ni moins que la destruction totale de la civilisation ennemie, l’écrasement des enfants, des femmes, des hommes, des bêtes et des biens qui la composent, dans ce qui devrait être le plus grand carnage que l’humanité ait connu. A ses proches qui tentent de le dissuader, il répond qu’il en est arrivé là, « parce que je suis libre ».

Si le choix ultime est le sien propre, le Grand Sauveur toutefois est resté fidèle aux siens. Dans son esprit, il ne fait que mettre en œuvre la stratégie militaire dont tout le monde parle : la hiérarchie de l’armée, celle de son unité, et même ses amis soldat.e.s. Personne ne voit d’autre issue que la destruction de l’ennemi qui menace d'un assaut imminent. Deux civilisations se percutent dont l’une est habitée d’une telle haine, que la négociation semble impossible.

La liberté ici est le fait d’assumer pleinement ses choix, fussent-ils l’éradication d’un peuple, en toute connaissance de cause, et en lien avec sa communauté. On retrouve cette idée de la double nature de l’humanité évoquée au début, qui est à la fois représentée par chaque personnage pris individuellement, dont Isayama développe le parcours de vie et la personnalité, et à la fois un corps collectif, c’est-à-dire un ensemble de liens d’attachement et d’intérêts entre les individus, au sein d’une famille par exemple (Annie), ou d’une unité de l’armée (Livaï). Le Grand Sauveur veut concrétiser ce que sa communauté projette comme solution, mais est réticente à mettre en œuvre pour des raisons éthiques et morales évidentes. A titre personnel, il veut délivrer sa communauté de l’horreur des titans et de la guerre. Il possède la force mentale nécessaire, parce qu’il est construit, entier et libre, au sens de pleinement assumé. Une fois sa décision prise, de commettre un crime innommable, qui jamais ne pourra être pardonné, il se détache des siens pour les protéger du mal, et s’avance inéluctablement vers son but.

Conclusion

Isayama a fait porter l’allégorie de la bombe atomique au héro de son œuvre. Le personnage central est appelé à commettre un des plus grands crimes que l’humanité ait conçu. Il est « l’incarnation de la fureur de l’humanité » (dixit Mikasa, Ep.8). Avec le même aplomb que le Grand Sauveur, l’auteur a ainsi poussé jusqu’au bout son attitude de non-jugement.

On comprendra qu’il n’était cependant pas possible que les lecteur.e.s restent attachés à Eren, ce qui les aurait conduit à approuver la destruction finale, et la bombe atomique, ce qui est impensable. L’auteur nous distance donc du personnage dans les derniers épisodes en le montrant aigri et mauvais vis-à-vis de ses proches. Personnellement, je n’ai pu y voir qu’un rôle qu’Eren se force à jouer, pour que ses ami.e.s s’éloignent de lui et supportent sa disparition programmée. Il leur souhaite l’existence la plus heureuse possible. Il se sacrifie et sacrifie toute une civilisation pour eux. Il réalise en même temps, au diapason de son exceptionnelle détermination (titanesque ?), sa prophétie d’éradication totale des titans, y compris le sien propre.

Non-juger sur des sujets aussi graves que la torture, l’assassinat, l’usage de la bombe atomique, est dérangeant. La question de la morale ou de l’éthique ne cesse de se répéter dans l’œuvre au fur et à mesure que l’on s’attache aux personnages, dont on espère qu’ils contribueront à sauver le monde, mais finalement nous ne sommes que les témoins désemparés de leurs exactions. Peu de personnages dans L’attaque des titans ne sont pas condamnables. Souvent, ils opèrent des choix radicaux qui conduisent au pire, sans nécessité immédiate, qu’ils cherchent à justifier après coup, mais leurs raisons sont faibles. Nous finissons par nous convaincre qu’ils subissent une telle pression des événements, dans un contexte extrêmement hostile et menaçant, que l’éventualité qu’ils puissent reprendre possession de leur destin est un leurre. Leur pardonner signifie accepter qu’ils soient déterminés par leur environnement.

Isayama s’en prend aux sociétés. A la famille d’abord, bonne ou mauvaise, qui pousse sa progéniture dans le danger. Les titans féminin et cuirassé sont de ceux-là. Ils massacrent par fidélité à leur famille, réelle ou imaginée, celle qui leur manque ou qu’ils auraient voulu avoir. L’auteur s’en prend à toute espèce de société : à l’armée, coupée des civils, critiquée pour subsister aux crochets des travailleurs, aux marchands, qui ne pensent qu’à leurs intérêts, à la Gestapo, milice de mercenaires cruels qui se croient au-dessus des lois, à la société politique enfin, qui s’associe aux familles pour fabriquer des machines de guerre. Les titans féminin et cuirassé par exemple, sont poussés dans l’armée par leur famille. L’armée profite de leur jeune âge pour leur inculquer une certaine vision criminelle de leur rôle dans le monde, et leur donne ensuite les moyens de passer à l’acte. Finalement, aucun des régimes politiques décrits dans l’œuvre n’est désirable. Hiérarchisés par classes ou ethnies, corrompus, dictatoriaux, instables, opportunistes, méprisants à l’égard du peuple auquel ils mentent, pour impersonnelle et abstraite qu’elle soit, la société politique semble être la cause de tous les maux. La vie paisible est impossible nous dit Isayama, parce que nous vivons en société, et que cette circonstance qui devrait être source de solidarité, attise en vrai nos rivalités. Un sens inné de la destruction est logé dans tout groupe humain.

Le groupe est destiné à assurer la survie de ses membres et la destruction d’autrui. C’est la définition de toute forme de discrimination. La discrimination érigée en régime politique prend le nom de totalitarisme.

Sur la notion de discrimination en philosophie politique, Dignité et pouvoir

https://drive.google.com/file/d/1xHMKFrRVgvsghkTctIS2-G7AzdFmoRcL/view

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le 18 nov. 2023

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