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Une première saison magistrale
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Déployer la jaquette de L’Habitant de l’infini, tome 2 (nouvelle édition) n'est pas inutile. Si vous le faites, vous remarquerez qu’Araya a un peu changé graphiquement entre la jaquette et le contenu du tome (un signe de plus que le style des mangakas évolue avec le temps et que cela se voit dans la manière dont ils redessinent d'anciens personnages) et, surtout, que les trois personnages (Anotsu, Makie et Araya) présents résument les rencontres de Rin et Manji dans ce volume. Leur point commun ? Ces rencontres représentent toutes une attitude par rapport à la vengeance et servent de réflexion aux lecteurs comme aux personnages.
La conclusion qui s’impose est alors limpide : la vengeance juste ça n’existe pas. Il s’agira toujours plus ou moins « d’une tuerie futile et stérile » qui impliquera d’autres personnes, se poursuivra sur plusieurs générations, dans un cycle de haine dont on ne voit pas le terme. Mais il ne s’agit pas pour autant pour Rin de ranger son projet au placard, accepter la mort de ses parents et aller de l’avant. Il s’agit plutôt de nous faire comprendre dès ces premiers tomes qu’il n’y a pas les gentils d’un côté et les méchants de l’autre. Les frontières se brouillent et même si une personne veut y échapper elle finira par être rattrapée et replongera dans ce tourbillon de tripes et de sang où les masques ne font illusion que pour les personnes qui en achètent et ignorent qui les fabriquent. Le bruit des sabres va encore résonner dans les plaines nippones.
Ce second volume offre donc de nouveaux affrontements et personnages. Et ce n’est vraiment que le début car le pire ou le meilleur est encore à venir. Mais les principales leçons morales ou éthiques sont déjà posées : adeptes de la justice, passez votre chemin !
Comme le précédent, ce volume pèche quelque peu par le choix des polices retenues pour traduire des vers et quelques dialogues, passages qui ne sont pas des plus lisibles à mon humble avis.
La (vraie) note : red is the new black/20
Créée
le 20 févr. 2024
Critique lue 33 fois
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