le 29 sept. 2015
Décors de l'Orient antique
Le romanesque l’emporte nettement dans cet épisode, et ne prend l’arrière-plan historique bien attesté que comme toile de fond, au reste assez imprécise. Jacques Martin a voulu exploiter la beauté...
Mon album préféré d'Alix pour l'instant (du moins j'espère pour l'instant).
Le graphisme est nettement plus intéressant que dans les précédents albums (surtout par rapport au tome 3) ; la couverture reste malgré tout plus belle que le contenu, mais on y trouve quelques très belles cases (en plus, on ressent - ou on croit ressentir - une évolution au fil des pages) ; la mise en page, hélas, reste trop dense. Petit à petit, l'auteur surcharge moins ses planches, y place moins de case, ce qui rend la lecture plus agréable, mais on ne ressent pas de véritable travail dans la manière d'agencer les cases. C'est d'autant plus frustrant que l'auteur utilise mal les ellipses, soit pour sur-découper soit pour sous-découper une scène.
L'histoire est également plus agréable à suivre ; Martin respecte un peu plus l'unité de temps et de lieu, même si ce n'est pas encore parfait. Il se passe encore un peu trop de trucs à mon goût sans que rien ne soit assez approfondi. Mais ce qui gêne le plus c'est la narration, notamment à cause d'une voix off bien trop présente et rarement pertinente. Même si elle apporte parfois un surplus d'information par rapport au dessin, je continue de penser que certaines scènes auraient pu être racontées autrement, plus simplement. Les personnages sont toujours aussi peu approfondis, pourtant certains ont du potentiel (je ne parle pas d'Enak, bien sûr, qui n'est là que pour se faire kidnapper, tomber, faire du bruit quand il ne faut pas, etc.). Je suis un peu ennuyé aussi par la présence systématique d'Arbacès qui parvient toujours à monter les échelons rapidement dans la hiérarchie des vilains.
Bref, ce quatrième tome est mieux rythmé, mieux dessiné, mais comporte encore quelques défauts gênants.
Créée
le 21 sept. 2015
Critique lue 353 fois
le 29 sept. 2015
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