Nous sachons !!!
L‘histoire émouvante d‘un fils formé par son père pour affronter la société, entre survivalisme ésotérique, complotisme paranoïaque et amour filial.On pensera au film Captain Fantastic pour ce...
le 6 juin 2024
5 j'aime
Chouette projet mais (forcément) incomplet.
Putain SC qui recommence à buger j'avais plus eu ça depuis longtemps, ma critique pas sauvegardée au-delà d'une phrase, et donc un texte perdu. Le pire, c'est que le titre a été retenu alors que c'est la dernière chose que j'ai écrite.
Le scénario est intéressant de par ses personnages et son récit, avec quelques situations bien pensées. Mais la mise en place est longue (on sent que l'auteur tient absolument à ce qu'on comprenne pourquoi ce gosse se laisse endoctriner de la sorte) et même après cela, quand ça devient enfin immersif, c'est étiré, c'est répétitif, on aimerait que ça aille plus vite.
Le graphisme est surprenant. L'auteur expérimente, propose un visuel particulier, mélange plusieurs techniques. Le rendu est efficace, les couleurs sont belles. Le découpage est distant, la mise en page n'est jamais étouffante. Les personnages restent reconnaissables facilement ; en plus, le visuel permet d'enrichir la narration, notamment avec cette arrivée inopinée du fantastique dans le récit, l'on se demande alors si ces monstres sont une métaphore, la vision du gamin, ou réellement des créature peuplant un univers étrange. Le texte à la main est plaisant.
Bref, cette BD est chouette, elle jouit d'un beau dessin et de belles idées mais s'avère un peu trop longue ; j'espère que le récit sera bouclé au second tome.
Créée
le 4 oct. 2025
Modifiée
le 4 oct. 2025
Critique lue 9 fois
L‘histoire émouvante d‘un fils formé par son père pour affronter la société, entre survivalisme ésotérique, complotisme paranoïaque et amour filial.On pensera au film Captain Fantastic pour ce...
le 6 juin 2024
5 j'aime
Chouette projet mais (forcément) incomplet.Putain SC qui recommence à buger j'avais plus eu ça depuis longtemps, ma critique pas sauvegardée au-delà d'une phrase, et donc un texte perdu. Le pire,...
Par
le 4 oct. 2025
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
125 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
124 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
124 j'aime
57