Ça y est, je l'ai relu plus posément.
La construction et la narration sont assez phénoménales : c'est un des plus gros travaux du scénariste à ce jour, du moins à mes yeux.
Le dessin est fabuleux, parfaitement dans le ton : très noir, bourré de testostérone, décors ultra travaillés. C'est beau.
J'ai également adoré le petit cahier des "sept différences" à la fin du bouquin. Il montre à quel point Dorison se documente et comment il se sert de la réalité pour raconter des histoires "basées sur la réalité". C'est super intéressant et le boulot semble phénoménal.
Bref, j'ai adoré cette deuxième lecture, encore plus que la première.