Une petite série en 7 tomes très polissonne et volontiers voyeuriste (c’est un peu le but, me direz-vous, si, si…) mais pas vulgaire pour autant (c’est très doux, si, si….) et donc… peuplée d’héroïnes aux gros seins. Des seins carrément énormes même, eu égard aux petits gabarits… de quoi satisfaire assurément les élans des otaculs de base.
Surtout que c’est très bien dessiné, non seulement les charmantes créatures si généreusement pourvues mais également tout le reste comme les décors, les environnements etc : du beau travail en vérité ! on peut regretter que l’auteur se focalise sur les poitrines et nettement moins sur les derrières… on veut des fesses aussi, bordel à cul !
Quoi qu’il en soit, l’histoire (?!) est inspirée des Video Girl Aï mais avec les ordinateurs ou plutôt la « magie » de l’Internet au lieu des VHS… Hélas, on est très loin d’un scénario à la Katsura, aussi niais fut-il (et futile), car ici l’histoire (?!) est abracadabrantesque et très confuse… ça empire d’ailleurs de tome en tome.
Les personnages sont en outre super énervants et très, très cons… seul le duo Saito/Catherine tire son épingle du jeu , le reste ne mérite vraiment que des baffes. Voilà donc un manga qui titille un brin mais un brin seulement ; le beau dessin ne peut pas tout, ni compenser une série entière écrite avec le fion (si j’ose dire).