L'actualité sur Monter, descendre, ça glisse pareil - Le Génie des alpages, tome 10
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1992 • BD franco-belge de F'Murrr
Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
Ha Ha ! oui c'est lui, très F'murr qui part au fil de l'eau... Les moutons, c'est une autre facette, très statique. Je ne sais pas s'il écrit vraiment un scénario pour ses BDs, ça ressemble pas mal à de l'écriture automatique...
Le 9 mars 2024
Ça pourrait être le cas, effectivement. Et puis, c'était encore dans l'air du temps des années 70-80. Le "statisme" des alpages se fait bousculer en beauté. Le chat de Gelück devrait en prendre de la graine. Athanase, son chien innommable, Romuald et les Romualdettes fichent un sacré bazar dans leurs montagnes inamovibles. Tout un univers qui donne envie d'y être, et F'Murr a tout compris au temps qui passe en montagne par rapport au temps qui passe chez les humains : car la montagne n'est pas f...
Le 9 mars 2024
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1992 • BD franco-belge de F'Murrr
Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
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1992 • BD franco-belge de F'Murrr
Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
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Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
a attribué 8/10 à la BD franco-belge
1992 • BD franco-belge de F'Murrr
Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
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Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
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Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
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a attribué 10/10 à la BD franco-belge
1992 • BD franco-belge de F'Murrr
Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
a attribué 10/10 à la BD franco-belge
1992 • BD franco-belge de F'Murrr
Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
a attribué 5/10 à la BD franco-belge
a attribué 7/10 à la BD franco-belge
1992 • BD franco-belge de F'Murrr
Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
a attribué 6/10 à la BD franco-belge
a attribué 8/10 à la BD franco-belge
1992 • BD franco-belge de F'Murrr
Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
a attribué 8/10 à la BD franco-belge
1992 • BD franco-belge de F'Murrr
Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
a attribué 7/10 à la BD franco-belge
1992 • BD franco-belge de F'Murrr
Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.
a attribué 8/10 à la BD franco-belge
1992 • BD franco-belge de F'Murrr
Résumé : Abus de grand air ? Overdose de sérénité bucolique ? Voilà quatre ans que F'Murr nous a laissés sans nouvelles des Alpages, avec cet autocar qui planait dans le ciel. Il plane toujours et son chauffeur est au bord de la crise de nerfs. A part ça, tout va bien : les brebis sont toujours cinglées, bien qu'elles se situent - d'après F'Murr - un peu plus fermement dans le réel. Exemple : elles sont inscrites sur les listes électorales. Exceptionnellement, elles se rendent en ville, honorer la mémoire d'un héros (régional) de la révolution : Aignan Morutier Dechampdemars qui s'employa, dès 1788, à stocker des kilomètres de textile tricolore... A propos de textile, le berger Athanase arbore ici une formidable collection de pull-overs - ce qui devrait encourager ses brebis, bien souvent désoeuvrées, à pondre de la laine. D'autant plus qu'on leur impose une concurrence sauvage sous la forme d'un alpage qui crache à la gueule de tout le monde pendant quatre pages. Ce clin d'oeil à Tintin est accompagné d'un clin d'oeil aux Peanuts, et plus particulièrement à Lucy qui, un jour, avait mis sur diapositives tous les petits défauts de Charlie Brown : ici, c'est le chien qui projette en "holographie" la cosmographie intime d'Athanase : son premier opinel, sa première cuite, la première vache qui l'a coursé, etc. Détail frappant : les Alpages sont plus peuplés que d'habitude : on y croise entre autres quelques touristes qui ne sont pas près de revenir, un sphynx égyptien exhumé par hasard, le Captain Achaboz et sa baleine blanche, et quelques échantillons de serpents, ours et saumons norvégiens égarés là pour cause de catastrophe écologique déclenchée par Romuald le bélier, dont on peut noter en passant que son QI ne s'est pas amélioré d'un iota. Bref, comme les neuf précédents, ce dixième album nage en pleine hystérie, avec une joie de vivre, un sens de l'absurde et une intelligence qui vous laissent pantelant. Et puis, retrouver les alpages, c'est retrouver, sans l'ombre d'un doute, l'un de nos plus grands dessinateurs.