Je suis un peu dubitatif sur cette BD. J'aime beaucoup l'auteur - j'ai déjà lu tous ses livres - et son style, mais ici il manque un réel fond à l'histoire. Le sujet, très grave, est ici traité simplement... comme à dû le vivre l'otage. Car le partie pris - celui de ne raconter que le point de vue du prisonnier - est poussé à son paroxysme. C'est à la fois la force du récit et sa limite.
Après quelques heures de lecture, on à l'impression de ne pas avoir vécu grand chose mais paradoxalement d'avoir vécu quelque chose de fort. La lecture est rapide, on n'a pas le temps de s'ennuyer, et c'est bien la le principal. Un Guy Delisle moyen mais tout de même recommandable.
Créée
le 2 mai 2019
Critique lue 142 fois
1 j'aime
Comment avec si peu, un dessin minimaliste, un propos grave mais qui n'est pas exploité comme il le devrait, Guy Delisle arrive-t-il à accrocher son lecteur ? Je ne sais pas, mais je suis tombée dans...
Par
le 12 janv. 2017
8 j'aime
J'aime beaucoup les BD de Guy Delisle, surtout ses chroniques de voyage en Asie et au Moyen-Orient. C'était avec une impatience certaine que j'attendais ce gros pavé. Mais, si l'histoire est...
Par
le 17 sept. 2016
6 j'aime
1
Guy Delisle raconte sur plus 400 pages, les mois de captivité de cet homme durant lesquels sa seule activité va consister à manger du pain trempé dans du bouillon, se laver sommairement et faire ses...
Par
le 18 oct. 2016
5 j'aime
Un terroriste place des bombes un peu partout dans la ville afin de faire courir (et réfléchir) notre petit Conan. Devant le pitch de base, difficile de ne pas penser au 3ème film de Die Hard sortie...
Par
le 30 juil. 2019
1 j'aime
Ryo Saeba est ici dans une configuration rappelant par moment le film Piège de cristal (sortie peu de temps avant cette OAV) puisqu’il se retrouve face à une immense tour pris d’assaut par des...
Par
le 30 juil. 2019
1 j'aime
Quand l'homme devient objet entre deux femmes et quand un film sombre dans le n'importe quoi pour essayer de faire rire. Heureusement que l'excellent trio de comédien sont là pour que l'on n'éteigne...
Par
le 22 juil. 2019
1 j'aime
